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LDVELH Communautaire: Le Maléfice de l'Oeil Pourpre


Coda

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Je réponds à ton dernier message en premier. Pour les autres questions je te réponds plus tard après ma course pour avoir toute ma concentration.

Liquider les saltimbanques... je suis partagé (ça reste ta décision dans la mesure où tu ne dépasses pas tes deux paragraphes consécutifs). D'un côté, je trouve ça extrême mais ça peut aller avec quelqu'un de désensibilisé à la violence. Je veux dire, je ne sais pas si le risque d'être découvert (par les saltimbanques) justifie le massacre. 

D'un autre côté ça à l'originalité de ne pas jouer le paladin par excellence. C'est d'ailleurs pourquoi je suis réticent à l'idée de nuire au héros si il tue trop. 

Enfin, je prends la main

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Le 08/07/2021 à 12:08, udhessi a dit :

Je modifierais bien le 132 pour y mettre la possibilité de liquider les saltimbanques dans leur sommeil

En courant, j'y pensé à ça. Vaut mieux pas parce que sinon faudra commencer une autre branche avec Blanche-Montagne qui arrive sur le lieu d'un massacre.

Le 08/07/2021 à 11:37, udhessi a dit :

1 : comment gère-t-on le départ du moulin avec Albert ? chemin direct vers le poste par une série de paragraphes ad hoc (comme il a une charrette, il faut que l'on suive un chemin) ou exploration de la forêt avec un mot-clef indiquant qu'il est avec le héros (ça me paraît plus compliqué car les possibilités décrites au 251 s'accommodent mal de la présence d'un véhicule).

Dans les lignes directrices du début, j'avais mentionné environ 100 paragraphes pour l'intro (avant le poste de traite). Il reste donc encore la forêt à boucler. Ça peut être court mais il faut quand même la faire. Moi j'irais pour une arrivée direct au poste de traite. Ça règle le problème.

Le 08/07/2021 à 11:37, udhessi a dit :

4 : le fait d'avoir gagné du temps par le chemin court a-t-il une influence sur la suite ?

Simplicité est le maître mot. Je dirais donc non mais en même temps d'avoir les mêmes événements deux jours différents c'est étrange alors je suis ambivalent.

Le 08/07/2021 à 11:37, udhessi a dit :

3 : quelle description technique donne-t-on de la forêt si on y arrive seul ? chemin unique linéaire avec de courtes boucles latérales ou chemins parallèles (201, 301, 289) qui se rejoignent devant le poste ?

Je ne comprends pas 'description technique'. Je comptais un labyrinthe, j'en ai parlé précédemment. Ce n'est pas nécessaire non plus compte tenu que si on prend le chemin avec Albert, il ne faut pas non plus manquer trop de contenu. Encore une fois, ambivalent. Ça mérite réflexion.

Normalement on a deux points d'entrée dans la forêt: par le raccourci en montagne et par le chemin long de la vallée si je ne me trompe pas.

Le 08/07/2021 à 11:37, udhessi a dit :

2 : comment branche-t-on le 289 et l'entrée dans la forêt ? arrivée au 251 avec une mot-clef indiquant qu'on arrive un jour ou une demi-journée plus tôt par un chemin où on a déjà rencontré le Cornu ? arrivée en un autre point de la forêt ?

J'éviterais le 251. Le mieux serait de faire un paragraphe transitoire qui mène à la forêt selon moi. J'aime pas trop l'idée de lier les deux chemins compte tenu de la géographie et du temps. C'est risqué niveau cohérence.

 

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  • Scriptarium
Le 08/07/2021 à 21:31, Coda a dit :

En courant, j'y pensé à ça. Vaut mieux pas parce que sinon faudra commencer une autre branche avec Blanche-Montagne qui arrive sur le lieu d'un massacre.

Pas forcément. Il arrive effectivement pour trouver les saltimbanques morts, mais si le héros s'est déjà enfui et ne le croise jamais par la suite...

Ceci dit, ça ne marche effectivement pas, car en les tuant au moulin, le héros se désignerait lui-même comme coupable et se condamnerait de fait à fuir le pays, ce qui met la suite par terre. Donc non. En revanche, s'il les recroise par la suite en pleine campagne, c'est différent.

Le 08/07/2021 à 21:31, Coda a dit :

J'éviterais le 251. Le mieux serait de faire un paragraphe transitoire qui mène à la forêt selon moi. J'aime pas trop l'idée de lier les deux chemins compte tenu de la géographie et du temps. C'est risqué niveau cohérence.

Ouaip, autant choisir une jonction des deux branches au niveau du poste.

Le 08/07/2021 à 21:31, Coda a dit :

Je ne comprends pas 'description technique'. Je comptais un labyrinthe, j'en ai parlé précédemment.

Je parlais de l'enchaînement des paragraphes. Si tu veux faire un labyrinthe, il vaut mieux que tu donnes la structure géographique des paragraphes (le tant mène au tant et au tant etc. et au final le tant mène à la sortie) et que tu laisses les autres mettre le contenu, au besoin en ménageant eux-mêmes des paragraphes intermédiaires pour dérouler une péripétie sur un même lieu.

Sinon, on ne va pas s'en sortir. 

Modifié par udhessi
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  • Scriptarium

Pour l'instant, je compte 59 paragraphes écrits ou annoncés. On a encore de quoi faire.

Si on fait un parcours d'une dizaine de lieux sur les chemins A et B, plus deux étapes pour le voyage avec Albert, ça laisse une vingtaine de paragraphes pour ajouter de l'aventure en route.

Il faut juste qu'on soit économes pour le bouclage de l'épisode de la grotte et de la nuit du 351.

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160.

Profitant de l’élément de surprise, vous bondissez sur vos pieds et courez à toute allure en direction du tunnel. Malheureusement pour vous, vos pas se répercutent dans la caverne ce qui alerte l’être à deux têtes de votre présence avant même qu’il puisse vous apercevoir. 

Le mutant fait tournoyer son épineuse massue et est bien déterminé à ne laisser aucun intrus quitter son antre en vie. 

Tentez votre chance. 

Si vous êtes chanceux, vous parvenez de justesse à vous éclipser sans être atteint par les pointes de son arme. Rendez-vous au 15.

Si vous êtes malchanceux, l’arme s’abat dans votre dos au moment même où vous atteignez l’embouchure du tunnel, labourant vos chairs, vous perdez 3 points d’endurance. Si vous survivez à cette terrible blessure, rendez-vous au 15.

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Oui, c’est assez fouillis par endroit. J’ai tenté de déplacer les deux chemins pour les espacer mais ça généré pleins de croisements qui rendait le truc illisible. J’ai pensé à remplacer les lettres (c) par des couleurs ou des teintes de vert pour les paragraphes complétés. Ça permettrait de lire le tableau plus facilement mais ce n’est pas le plus gros défi. 
 

La main est libre mais n’oublie pas si tu prends que tu es limité à 1:1 pour les ajouts. Bref un paragraphe pour chaque contribution.   

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Normalement tu ne peux pas faire le 145, tu en serais à trois paragraphes consécutifs (cinq en fait). Si tu as commencé, tu peux le terminer mais sinon il faudrait que tu prennes la main ailleurs parce que comme c'est là tu couvres une section en entier et ce n'est pas dans l'esprit du projet:

image.png.568914d88e9f741767c75af5c35cabea.png

Je t'en avais fait un rappel hier en fait:

Citation

Liquider les saltimbanques... je suis partagé (ça reste ta décision dans la mesure où tu ne dépasses pas tes deux paragraphes consécutifs). 

 

Modifié par Coda
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Non mais ça va bien! Je me fais piquer pour ma deuxième dose COVID, 36h ko, je reviens sur le forum, et on passe de la page 9 à la page 11!! Et du lourd en plus! C'est pas sérieux! 😂

J'ai commencé à écrire mon 391, mais je dois recommencer vu ce qu'il a été écrit concernant le tunnel qui descend...  cela dit, je m'interroge de plus en plus sur l'ampleur que peut prendre la grotte sur les 100 paragraphes de la 1ère partie... il ne risque pas d'y avoir un déséquilibre?

Sur la question des meurtres, je trouve ça plutôt intéressant:

- d'une part j'ai jamais vu ça dans un LDVH

-d'autre part le meurtre peut être pensé comme "le héros attaque sans avoir été agressé au préalable" pensant ou non... le mécanisme touche au for intérieur du perso et non aux autres... pulsion de mort ou pas.

-enfin, le fait de noter le nombre de meurtres pourrait avoir une influence sur le "combat final" qui pourrait ne pas être à sens unique mais offrir deux conclusions opposées: 1- le héros fait le choix du chaos (ex:supprimer KC par la violence) et un nombre important de meurtre devient un bonus  2- le héros fait le choix du bien (ex: exorciser KC d'un démon démoniaque poulpique pourpre) ou ce nombre devient un malus. Bien sûr la question de ce choix (j'aime tuer/je ne veux plus tuer) devrait apparaitre dans l'écriture des situations.

C'est mon avis.... cela dit, vivement que vous arriviez tous les deux à 40%...😈😆

 

Modifié par Elvin Presse-lait
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  • Scriptarium

145.

Vous portez la tasse à vos lèvres et goûtez l’eau. Elle vient sans doute de la rivière et vous semble potable. Rifchêne prend quelques brins de gazon et commence à les mâcher bruyamment. Il pousse l’assiette vers vous avec un geste d’encouragement et vous vous résolvez à avaler quelques myrtilles, plutôt acides. L’étrange personnage vous assomme avec des bavardages sans grand  intérêt : un martin-pêcheur qui a l’habitude de se poster en amont est couvert de puces et en laisse dériver dans le courant à chaque fois qu’il plonge ; une loutre qui a son terrier en aval a abandonné ses petits pour chercher l’aventure au confluent des deux bras de la rivière, à moins qu’elle n’ait été tuée par un trappeur.

Vous vous maudissez d’être entré dans le terrier et cherchez un prétexte pour vous éclipser quand Rifchêne change brusquement de sujet : vous êtes là pour commercer et il faut parler affaires. Il écarte le service à thé et étale devant vous ses marchandises : une mâchoire de piège à ours rouillée, 1 pièce d’or, trois boutons en os enfilés sur une ficelle sale, une fiole de grès vernissé vide, une botte d’herbe à Kobolds, censée soulager les maux de dents et un couteau de cuisine ébréché. Le sens des affaires de votre nouveau meilleur ami semble assez limité et il est disposé à échanger chacun de ses objets contre un autre, quel qu’il soit. A ce troc curieux, une pièce d’or compte pour un objet.

Pendant ces échanges éprouvants, Rifchêne semble avoir entrevu la marque sur votre poignet. Il tord la tête en écarquillant les yeux pour essayer de mieux la voir. Si vous en avez soupé de ce fou, vous rajustez impatiemment votre manche, sortez précipitamment du terrier et poursuivez votre chemin d’un pas à la fois rageur et soulagé : rendez-vous au 289. S’il vous reste encore un peu de patience, vous pouvez laisser Rifchêne satisfaire sa curiosité, rendez-vous au 191.

191.

Rifchêne n’ose pas vous toucher le bras, mais essaye de relever votre manche en la poussant avec une brindille. Vous finissez par la remonter vous-même en levant les yeux au ciel, ou plutôt à la voûte trop basse du terrier. L’étrange bonhomme étouffe une exclamation de stupeur et s’empresse de vous mettre en garde : “Il faut vite vous cacher ! Un Cornu-Tordu chasse autour d’ici. Il dit qu’il veut attraper les êtres humains qui ont un oeil rouge sur le bras.” Sans vraiment y croire, vous demandez à Rifchêne s’il sait comment vaincre les Cornus-Tordus. “Ah non, c’est la première fois que j’en vois un... Mais attendez ! C’est une sorte de mouton, donc il doit avoir peur des chiens ! Les moutons ont peur des chiens ! Il vous faut un chien. Ah, c’est dommage que je n’en aie pas.”

Inquiet pour votre sécurité, votre meilleur ami insiste pour vous faire quitter le terrier par “l’issue de fuite”, qui s’avère descendre sous la surface de la rivière et déboucher à peine à trois mètres de celle par laquelle vous êtes entré. C’est donc trempé et exaspéré que vous reprenez votre progression vers l’ouest, tandis que Rifchêne, sorti bien au sec pendant que vous plongiez dans la vase, scrute nerveusement les environs du terrier pour vous avertir d’un éventuel danger. Notez le mot-clef tordu sur votre feuille d’aventure et rendez-vous au 289. 

Modifié par udhessi
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  • Scriptarium
Le 09/07/2021 à 18:36, Coda a dit :

Normalement tu ne peux pas faire le 145, tu en serais à trois paragraphes consécutifs (cinq en fait). Si tu as commencé, tu peux le terminer mais sinon il faudrait que tu prennes la main ailleurs parce que comme c'est là tu couvres une section en entier et ce n'est pas dans l'esprit du projet:

Oups. Porté par mon élan, je n'avais pas lu ça. Je comprenais la limite comme deux consécutifs max. pour un tour d'écriture donné. Mais à la réflexion, c'est vrai que s'il n'y a pas assez de contributeurs, ça signifie juste que je mets plus de temps à écrire une longue file de paragraphes.

Je me tiens désormais à la règle telle que tu la décris.

 

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Ok, j'ai lu, c'est intéressant. Il faudrait que tu restes à 40% et non aller au-delà pour attendre ensuite. Pour le moment ce n'est pas dramatique puisque tu es à 42% donc il suffira que je prenne la main une fois pour que tu redescendes en dessous du seuil mais aussi bien prendre l'habitude. La gestion sera plus facile si on s'en tient aux règles établies. Si on laisse passer un truc une fois il faut le laisser passer pour tous une fois et ça peut éventuellement causer des problèmes.

J'ai ajouté une section à la toute fin pour m'éviter de garder à jour les participations de tous. Ainsi, on sera désormais tous responsables de garder ce tableau à jour. Le mieux serait que vous alliez voir mais:

image.png.d5db8fcdb16c1b3b88ed6c8dd7a416fd.png

Total: le total de paragraphes terminés pour l'instant, donc 45. 11% c'est la progression du total (45/400). Il n'est pas nécessaire de garder le pourcentage à jour au fil de vos participations, c'est pour donner une idée. 

10 cases par ligne. Lorsque les 10 cases sont pleines, ajoutez une ligne (clique droit). 19 c'est le nombre de paragraphes de l'auteur. Avec 10 paragraphes par ligne c'est facile à déterminer. Divisez ensuite votre participation par le total actuel pour avoir votre participation. À trois auteurs présentement c'est facile à gérer. 

J'ai fait l'amalgame des auteurs qui ont moins de 10% de participation pour éviter des lignes vides. 

Je prends la main. 

Modifié par Coda
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89.

Vous approchez des rochers alors que le soleil disparaît derrière l’horizon. Vous trouvez rapidement un endroit suffisamment confortable entre deux masses de pierre où vous pourriez passer la nuit à l'abri des regards. 

Vous déposez votre équipement à proximité et vous vous apprêtez à vous étendre sur le tapis d’herbes épaisses pour une nuit de sommeil bien méritée quand vous remarquez quelque chose qui vous fait arrêtez net; dans la pénombre naissante vous aviez mépris une pierre pour un homme vêtu d’une bure de laine grise assit en tailleur. Tout comme les formations rocheuses qui vous entourent, il est parfaitement immobile et semble méditer profondément. L’effigie d’un soleil brodé de fil rouge sur son épaule droite ne laisse aucun doute: c’est un disciple du Poing Solaire.  

Vous aviez déjà entendu des rumeurs d’un monastère creusé à même la paroi d’une falaise quelque part au sommet d’une montagne perpétuellement enneigée. Difficile de tirer le vrai du faux au sujet des moines mais on racontait que ceux qui étaient prêt à tout sacrifier pour dédier leur vie à la maîtrise des compétences martiales devaient se rendre dans les montagnes du nord où ils seraient éventuellement approché par des moines vêtus de gris à l’effigie d’un soleil rouge. 

Vous ignorez ce que cet adepte peut bien faire à bonne distance du monastère. Vous pourriez l’approcher mais il serait préférable de rester prudent. Les prouesses de ses guerriers légendaires et vous avez souvenir de l’histoire d’un moine qui avait terrassé un dragon avec ses mains nues. Quoique les membres de l’ordre ne sont pas réputés comme étant hostiles, il serait préférable de ne pas chercher à le provoquer. 

Si vous souhaitez approcher l’homme pour engager la conversation, rendez-vous au 141.
Si vous préférez profiter du fait qu’il ne vous ai pas remarqué pour vous étendre pour la nuit, rendez-vous au 281.

La main est libre

Modifié par Coda
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J'avais oublié de répondre au sujet des meurtres.

Perso, je ne suis pas pour l'ajouter dans les règles comme partie intégrante du livre mais à deux voix contre une, je m'incline. @udhessi Je te laisse rédiger un paragraphe au sujet de la variable 'meurtre' après la section 'chance' dans le livre. Je ne saurais comment l'écrire sans donner à 'meurtre' une connotation négative ou sans trop en dire au sujet de l'histoire. 

 

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  • Scriptarium
Le 09/07/2021 à 23:30, Coda a dit :

J'ai ajouté une section à la toute fin pour m'éviter de garder à jour les participations de tous. Ainsi, on sera désormais tous responsables de garder ce tableau à jour. Le mieux serait que vous alliez voir mais:

c'est plus facile à visualiser comme ça. Plus que 3 numéros nouveaux et je pourrai faire le 50e 😉

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Ouaip. Je prends la main pour le 275. 

Si tu veux en attendant de reparticiper, tu peux donc rédiger le paragraphe portant sur les meurtres puisque je comptais modifier la feuille d'aventure pour avoir une case meurtre avec un dessin pour logo.

Il y a aussi un paragraphe à écrire en guise d'intro pour expliquer comment fonctionne le livre (ne pas lire le livre dans l'ordre des pages, avoir besoin de dés pour participer, écrire sur la feuille d'aventure qui se retrouve à la fin, etc...) C'est chiant à faire mais ça peut être bref et c'est important pour ceux pour qui ce serait la première expérience.

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  • Scriptarium
Le 10/07/2021 à 20:25, Coda a dit :

Si tu veux en attendant de reparticiper, tu peux donc rédiger le paragraphe portant sur les meurtres puisque je comptais modifier la feuille d'aventure pour avoir une case meurtre avec un dessin pour logo.

c'est fait, à l'instant.

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275.

Vous escaladez le vieux chêne avec facilité. Vous retrouvez ainsi le dos contre le tronc massif de l’arbre parmi les branchages vous remémore la première fois où vous avez passé la nuit de cette façon alors que vous étiez encore enfant. Vous en étiez alors à vos premiers jours de votre exode vers Fang. Vous aviez décidé d’imiter vos jeunes comparses pour éviter d’être une cible facile pour les prédateurs de la nuit.

Vous étiez beaucoup plus petit à l’époque; il sera encore plus inconfortable de dormir dans une position aussi précaire en tant qu’adulte. Vous répartissez vos fourrures sur les branches du mieux que vous le pouvez et dissimulé par l’épais feuillage, vous tombez enfin endormi. 

Rendez-vous au 376.

 

Modifié par Coda
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341.

“Eh bien! Tu as vraiment de la veine mon ami! Il se trouve que nos destins semblent irrévocablement liés! J’ai besoin d’un garde du corps pour protéger mon inestimable marchandise alors que toi tu dois te rendre au poste de traite. C’est Drigor qui m’en a parlé ce matin, il croyait que nous pourrions nous être mutuellement utiles. Ça ne t’en coûterait pas une seule pièce d’or si j’ai ta parole que tu assureras ma sécurité jusqu’à notre destination. Alors, qu’en dis-tu?”

Il éponge son visage suintant de sueur à l’aide d’un mouchoir et vous offre l’autre main avec son sourire forcé au visage. Vous avez déjà fait un détour considérable en rendant visite à Drigor et êtes impatient de vous rendre à votre destination. De plus, s’il devait arriver quelque chose en route, vous pourriez tout simplement laisser le marchand à son sort. Bref, vous n’avez rien à perdre si ce n’est de devoir souffrir de sa présence pendant quelques heures.

Vous acquiescez et serrez la main moite d’Albert. Il est maintenant temps de prendre place dans son chariot et de laisser derrière vous le moulin et les saltimbanques, rendez-vous au 111.

* * *

@udhessi Tu peux reprendre la main, tu es à 39%. Un seul paragraphe par contre. 

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  • Scriptarium
Le 10/07/2021 à 21:46, Coda a dit :

Vous acquiescez et serrez la main moite d’Albert. Il est maintenant temps de prendre place dans son chariot et de laisser derrière vous le moulin et les saltimbanques, rendez-vous au 111.

Tu ne laisses pas la possibilité de lui dire d'aller se faire cuire un œuf ? Ça implique que si le héros passe au moulin, il traverse forcément la forêt par le chemin express, à moins qu'on ne lui donne la possibilité d'abandonner Albert avant d'y entrer.

Modifié par udhessi
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