Aller au contenu

LDVELH Communautaire: Le Maléfice de l'Oeil Pourpre


Coda

Messages recommandés

Pour les meurtres je suis pour 1 seul également.. 

Sur le problème du lieu, il me semblait avoir pris en compte le problème dans l'écriture... De plus le décor n'étant pas décrit dans les paragraphes concernés, les conversations identiques ne posent pas de problème de mon point de vue puisqu'à l'issue ce sont les mêmes destinations qui sont possibles... Il me semble ainsi que cela ne gêne pas la cohérence de la narration.... 

Pour le 76, bien vu, il faut trouver quelque chose qui ne fasse pas référence au bruit... Je n'y avais pas pensé, mais je voulais surtout éviter la démultiplication des paragraphes pour cette zone. 

Pour le boyau latéral j'avais l'idée d'un éboulement en amont qui empêche toute retraite et pourquoi pas un objet particulier... Mais bon, pas de souci tout n'est pas écrit ! 😜

Enfin la rivière peut être un affluent de la rivière principale. Je n'y vois pas de problème. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 14/07/2021 à 18:39, Elvin Presse-lait a dit :

Sur le problème du lieu, il me semblait avoir pris en compte le problème dans l'écriture... De plus le décor n'étant pas décrit dans les paragraphes concernés, les conversations identiques ne posent pas de problème de mon point de vue puisqu'à l'issue ce sont les mêmes destinations qui sont possibles... Il me semble ainsi que cela ne gêne pas la cohérence de la narration.... 

Ah oui en fait ça peut passer du point de vue du lecteur. 

Le 14/07/2021 à 18:39, Elvin Presse-lait a dit :

Pour le boyau latéral j'avais l'idée d'un éboulement en amont qui empêche toute retraite et pourquoi pas un objet particulier... Mais bon, pas de souci tout n'est pas écrit !

C'est le défi d'écrire à plusieurs (et le plaisir aussi) 😀. Pour le prospecteur d'udhessi, moi j'avais l'intention d'y mettre un membre de l'ordre de l'œil Pourpre par exemple. Je tenais à ce que les deux membres amputés soient rencontrés par le joueur. Je préfère ne pas trop en dire pour ne pas influencer les autres à suivre mes idées. 

Par exemple, j'ai déjà pensé à l'origine du poignard, le rôle de la guerre des Quatre Royaumes au début de l'intro et l'identité du Cornu. Même chose pour le moine du Poing Solaire et son rôle à jouer dans l'histoire. 

Je pense qu'une fois l'objectif réellement défini (le but de la quête), on pourra faire en sorte que les paragraphes soient davantage liés au niveau de l'histoire. Pour l'instant c'est plusieurs sections qui s'emboîtent mais je crois que passé le poste de traite, ce sera plus dans l'optique d'une grosse section qui devient plus détaillée.

On n'utilise que très peu d'objet pour le moment (une seule fois je crois). On est en encore au début alors ça viendra plus tard.

Aussi, je voulais parler du paragraphe du début:

333.

Après plusieurs dizaines de mètres, durant lesquels il vous faut lutter pour éviter de finir coincé dans ce boyau de roches et de boue, le passage débouche enfin sur un espace ouvert. Il semble s'agir d'une grande salle, dont la lueur de la torche, peine à en dissiper l'obscurité. 

Alors que vous rapprochez de l'ouverture afin de mieux discerner l'intérieur du lieu, un pan rocheux cède sous votre poids, vous faisant basculer et tomber 3 ou 4 mètres plus bas. -- Lancer un dé pour connaître le montant des dommages subis -- 

La chute fut rude, mais le prix à payer compte peu, face au soulagement de pouvoir à nouveau bouger et respirer librement.

Reprenant votre torche en main, vous inspectez vos blessures et votre équipement. Rien ne manque, à l'exception de votre bourse d'or, certainement décrochée de votre ceinture dans l'étroit tunnel, dont l'entrée est à présent bien trop haute et instable pour y remonter. -- N’oubliez pas de modifier votre feuille d’aventure --

Vous remarquez des flambeaux de pierres, fixés à la roche et muni de petits réservoirs. Sous chacun d'eux, un vase dégageant une forte odeur de pétrole. 

Vous utilisez le combustible pour remplir les réceptacles, avant de les enflammer à l’aide de votre torche. En répétant l’opération sur les autres flambeaux de la salle, la lumière finit par éclairer entièrement les lieux. 

Rendez-vous au 7.

* * *

Je pense qu'on peut prendre le droit de modifier les paragraphes des auteurs inactifs ne serait-ce que pour faire des éditions plus tard lorsque l'histoire sera plus développée ou en fonction des retours des joueurs.

Je trouve que la perte de tout l'or au tout début de l'aventure est vraiment un gros coup à endurer et un sérieux désavantage à équilibrer par la suite. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je prends et je rends la main:

283.

Lancez quatre dés. Vous pouvez, si nécessaire, relancer les quatre dés une seconde fois au prix d’un point de chance (réduisez votre CHANCE de un point). Si la somme des quatre dés est inférieure ou égale à votre total actuel d’ENDURANCE, vous parvenez à bondir de l’autre côté sans heurt, rendez-vous au 270.


Si la somme est supérieure à votre total actuel d’ENDURANCE, vous ne parvenez pas à sauter suffisamment loin et atterrissez dans l’eau glaciale de la rivière tumultueuse, rendez-vous au 52.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Scriptarium

52.

Saisi par la froideur de la rivière et désorienté par les remous, vous vous aspirez une grande gorgée d’eau glaciale et peinez à remonter à la surface, crachant et toussant tandis que le courant vous emporte. Vous perdez 1d6 points d’endurance.

Vous luttez encore pour retrouver votre souffle quand vous réalisez que le plafond du conduit creusé par les eaux se rapproche rapidement : la rivière s’engouffre en grondant dans un siphon. Le ventre serré par l’angoisse, vous prenez une grande inspiration et plongez pour éviter que le courant ne vous projette contre la pierre.

Lancez à nouveau 4d6, si le total est inférieur ou égal à votre score actuel d’endurance, rendez vous au 88 ; s’il est supérieur, rendez vous au 103.

103.

Durement secoué par le flot, vous heurtez à plusieurs reprises la roche. Le froid qui engourdit miséricordieusement vos sens estompe la douleur mais, vous ne tardez pas à perdre connaissance et ne réalisez même pas que vous êtes en train de vous noyer. Un peu plus loin, le lit de la rivière souterraine s’élargit et le courant se calme et votre corps s’immobilise entre deux eaux, coincé par un rocher. Cette noyade est une aubaine inespérée pour la foule de crevettes troglodytes aux chairs transparentes et de petits poissons pâles et aveugles qui commence, timidement, à s’approcher de votre cadavre. Votre aventure se termine ici.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Scriptarium

Pour des raisons techniques, je découpe l'ancien 363 en deux parties :

163 : descente vers le gué depuis la charrette accidentée.

363 : arrivée au gué.

128 et 348 modifiés en conséquence.

163.

Laissant derrière vous la charrette, vous poursuivez votre descente vers le cours est de la rivière rouge. Le chant des oiseaux dans les frondaisons vous laisse une impression curieuse, comme si quelque chose n’était pas à sa place. Au bout d’un moment, vous réalisez de quoi il s’agit : pendant votre rencontre avec la créature cornue, la forêt était complètement silencieuse, comme si les bêtes des bois se tenaient craintivement à l’écart de la chose. Maintenant qu’elle est partie, la vie semble reprendre son cours. Spéculant sur la nature de la créature cornue et ses motivations, vous suivez le chemin en grattant sans y penser votre poignet irrité.


Rendez vous au 363.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Scriptarium

88.

Malmené par les eaux furieuses, transi, vous parvenez néanmoins à rester au cœur du courant et éviter de heurter trop rudement la roche. Vous maîtrisez difficilement votre souffle et laissez échapper quelques bulles d’air quand vos poumons se font trop douloureux. Les dieux doivent veiller sur vous car vous trouvez une poche d’air salutaire, coincée entre les eaux et la voûte de pierre. Après avoir repris vos esprits, vous réalisez que vous n’avez pas d’autre choix que de plonger à nouveau et de continuer à suivre le courant, en espérant qu’il débouche à l’air libre avant que vous ne vous noyiez. Vous adressez une courte prière à Sindla, déesse de la chance et du destin, et à Logaan, puis avec une réticence résignée, vous vous enfoncez à nouveau sous la surface.

Au bout de quelques minutes vous voyez devant vous la lumière du jour, tandis que vous sentez le courant accélérer à nouveau. Vous débouchez soudain à l’extérieur et, aveuglé par la lumière et poussé par la rivière qui cascade bruyamment, dégringolez dans un chaos de roches pour enfin plonger dans un étang glacé. Moulu, pantelant, étourdi, vous regagnez péniblement la rive. Perdez 1d6 points d’endurance.

Vous vous déshabillez rapidement et essorez vos vêtements trempés. Vous les étalez au soleil sur les rochers pour les faire sécher puis vous laissez tomber au sol, attendant que les rayons vous réchauffent. 

Vous êtes au pied d’une petite falaise au milieu de la forêt, à dix mètres au dessus de vous, le cours est de la rivière rouge émerge de la roche par une étroite ouverture. Elle forme une cascade qui ricoche sur les rochers avant de s’écraser en bouillonnant dans le petit étang dont vous venez de sortir. Les anciens ont sculpté sur la roche le visage d’une divinité barbue au front haut et à la chevelure emmêlée, qui s’étale en auréole autour de la tête. C’est par sa bouche grande ouverte que sort la cascade.

Quelle chute ! Vous auriez facilement pu y rester. 

A votre gauche, l’étang s’allonge et se resserre : le cours de la rivière rouge se poursuit vers le sud… Par la male peste ! Vous êtes sorti du mauvais côté. Il vous faut encore traverser la rivière pour aller au poste de traite. Vous n’avez aucune envie de prendre un nouveau bain glacé et, quand vos affaires sont à peu près sèches, vous suivez la rivière vers l’aval à la recherche d’un gué.

Rendez vous au 363.

Modifié par udhessi
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Scriptarium

On a un peu oublié que la mine avait été abandonnée précipitement à cause de qqc de dangereux et terrifiant. Ce n'est probablement pas l'Ettin et ça n'est pas dans les profondeurs, il faut donc que ce soit au-delà de la rivière souterraine au 270.

On a encore de la place en 76 pour que l'Ettin donne un indice utile à ce sujet et oriente le héros dans la direction du 330.

Modifié par udhessi
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Perso je ne vois pas trop pourquoi ça cloche pour l'Ettin. Les nains peuvent être tombés par malchance sur sa grotte. Faut avouer que ce n'est pas une créature qui provoquerait la fuite d'un groupe de mineurs par contre. Je veux dire, si on arrive pas à ajouter une autre créature, ça pourrait toujours collé. Je ne crois pas que ce soit dramatique dans la mesure où au moins on a l'Ettin.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Scriptarium

Comme tu dis :  on décrit une mine désertée sans prendre le temps d'emporter le matériel, avec un avertissement solennel gravé sur un mur.

Ca ne peut pas être juste pour un couillon à deux têtes que le héros élimine en lui racontant des fariboles.

Et l'Ettin parle de "quitter son poste" en remontant de la mine, ce qui peut impliquer qu'il a été posté par une puissance supérieure.

A mon avis, au moins trois balrogs de l'autre côté de l'eau.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Scriptarium
Le 14/07/2021 à 23:44, Coda a dit :

Je comptais faire ressortir le héros dans le bois Noir Opal s’il tombe à l’eau. Reprendre conscience prêt du para de la rivière dans la forêt.

Finalement, je le fais ressortir au-dessus du gué de Rifchêne. Comme ça le héros peut avoir l'info sur la présence du cornu sans l'avoir rencontré et le tuyau sur le fait qu'il a peut-être peur des chiens.

L'idée est de remettre une rencontre du cornu, dans la forêt, potentiellement mortelle, dont on peut varier la dangerosité en fonction des choix antérieurs :

- plus dangereuse si le Cornu est averti du passé du héros, donc cherche à le prendre en embuscade (passage par le 348 ou le 202) : soit il a vu lui-même la marque soit les saltimbanques l'ont vue et dénoncent le héros ;

- moins dangereuse si le héros est prévenu et a récupéré la flûte d'argent (flûte de berger magique dont on imagine que le son assoupit les béliers), ou le chien conseillé par Rifsèche ;

- intermédiaire si rien de cela ne s'est passé.

En ajoutant une info sur le sujet pendant la nuit dehors (de la bouche du moine qui mérite entre les rochers ?), ça donne la possibilité d'avoir une modification de la rencontre quel que soit le chemin que l'on prend parmi les 4 du début.

Modifié par udhessi
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

23.

Après quelques secondes d’hésitation face à votre surprenante interlocutrice, vous ouvrez la bouche pour lui répondre, mais celle-ci vous devance :  « ouiiiii, je le sens aussi... vous avez diiiné... mais c’est vous la proie à cette heure ciiiiii , iiiiil est tout prêt, iiiil vient pour vous, mon arbre est votre répiiiiis... » C’est alors que le chiroptère géant écarte ses ailes grandioses et fait mine de vous enlacer... votre cicatrice vous démange alors à la limite de la douleur, les oreilles imposantes de la chose semblent vibrer alors que ses grands yeux oranges vous fixent avec une intensité fascinante.

Allez-vous laissez la créature vous envelopper dans la membrane noire de ses ailes articulées (rendez-vous au 233 ) ou, conscient du danger imminent qui se referme sur vous, vous plongez votre lame dans son torse sans protection (rendez-vous au 116).

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

73.

D’un geste vif et précis vous sortez votre lame face à l’immense chiroptère qui, non moins rapidement, déploie ses ailes immenses qui vous percutent, vous faisant basculer de votre étroit perchoir. « Imbéciiiiile » sera le commentaire désagréable qui accompagnera votre chute tout aussi désagréable. Pour connaître les conséquences de votre chute, tentez votre chance. Si vous êtes chanceux, vous tombez entre les noueuses racines de l’arbre mais la chute vous enlève tout de même 1d divisé par deux points d’endurance. Si vous êtes malchanceux, c’est 1d points de vie qui vous échappent et votre jambe heurte lourdement une des racines, la douleur immédiate pose une sentence terrible puisque vous perdez également 1 point d’habileté.

Dans tous les cas, c’est avec difficultés que vous vous redressez la main appuyée sur le tronc qui vous abritez quelques secondes plus tôt, main dont la cicatrice sur votre poignet semble palpiter à la limite de la douleur.

« Ça alors, ma proie tombe du ciel » murmure doucement une petite créature d’une voix non moins menaçante. Rendez-vous au 245.

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

 

116.

D’un geste vif et précis vous plongez votre lame en plein dans le torse de l’immense chiroptère, qui ne laissera échapper qu’un pathétique gargouillis témoin de son agonie. (vous pouvez rajouter 1 meurtre sur votre feuille de personnage). Hélas, lâchant sa prise la créature bascule alors, vous entraînant dans une chute vertigineuse. Pour connaître les conséquences de votre chute, tentez votre chance. Si vous êtes chanceux, vous tombez entre les noueuses racines de l’arbre mais la chute vous enlève tout de même 1d divisé par deux points d’endurance. Si vous êtes malchanceux, c’est 1d points de vie qui vous échappent et votre jambe heurte lourdement une des racines, la douleur immédiate pose une sentence terrible puisque vous perdez également 1 point d’habileté.

Dans tous les cas, vous voilà commotionné et couvert par le cadavre de cette satanée roussette, vos sens se concentrent alors sur la cicatrice sur votre poignet qui semble palpiter à la limite de la douleur. Instinctivement mais aussi par impuissance, vous restez immobile.

Des bruits de pas s’arrêtent à quelques centimètres de vous. Une voix faible à la limite du murmure vous parvient alors vous faisant trembler l’échine.

« Non, ceci n’est pas ma proie. Je m’en nourrirai bien, mais non... il faut faire vite, oui, je dois retrouver ma proie ». Immobile, vous entendez les pas s’éloigner rapidement. Certainement à cause de la chute, vous perdez alors connaissance. Rendez-vous au 147.

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Pris par mon élan ( aucune référence salace...) j'ai juste oublié comment accéder à l'organigramme et je n'ai pas vérifié le cheminement qui amène à la roussette ... du coup, ce que vient de pondre n'a de sens que si notre héros n'a jamais combattu le cornu... de plus lors de la rencontre déjà écrite prés de la charette, il n'y avait pas de sensation au poignet pour notre héros du fait de sa présence... Bref, je sens que c'est bancale mon truc, mais bon, fallait reprendre et faire baisser vos pourcentages! ;-)

Je rend la main (avec le poignet)

 

Non, en fait c'est ok pour le cheminement (organigramme mis à jour), reste cependant la question du poignet...

Modifié par Elvin Presse-lait
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bien joué! Belle contribution. Ça va donner du jeu à udhessi de participer en attendant que je reprenne la main.

Pour les meurtres, j’ai la mémoire un peu floue. Qu’est-ce qui ne serait pas considéré comme un meurtre? Si on chasse quelque part pur se nourrir, est-ce que c’est un meurtre ou pas?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Scriptarium

J'enchaîne sur cette excellente idée. J'ai mis le 91 en sortie dans le doute, sans idée précise, parce que je n'ai pas révisé la structure des paragraphes menant dans la forêt le lendemain. Il faudra sans doute changer ça.

233.

Autant sous le coup de la stupeur que par réelle confiance, vous laissez la roussette géante refermer ses ailes autour de vous. Après tout, pendue à l’envers comme elle l’est, elle ne peut guère vous mordre qu’aux chevilles… La créature grince à mi-voix: “Restez tranquiiille. Pas de bruiiit.” Baigné dans sa puissante odeur musquée, vous entendez sous les branches le son étouffé de sabots, suivi de reniflements interrogatifs. Une voix bêlante s’élève: “ Êêêê ! Ça, là-haut! Êêêê-ce que ça a vu un humain? Je sens son fumêêê autour de l’arbre. Que ça ne mente pas! Je le sentirêêêêê aussi !” Avec un sifflement méprisant, la roussette rétorque: “Le sentiiiir? Par-dessus sa puanteur d'œuf pourriiii?   Iiil a le nez fin! Un humain était tantôt iciiii. Mais je ne le vois plus, de là où je suiiiis. Quiiii, ouiiii quiii peut diiire où iiil est partiii?” Visiblement agacé par les piaillements de votre protectrice, la chose aux sabots s’éloigne en maugréant. Vous restez de longues minutes dans cette improbable étreinte, et la douleur à votre poignet finit par s’atténuer. La roussette ouvre les ailes puis, après que vous l’avez remerciée avec effusion, reprend sa position en marmottant une vague mise en garde contre le “tordu-cornu” et se dispose à dormir. Vous décidez de rester dans l’arbre jusqu’à l’aurore. Après quelques heures de sommeil inquiet, vous laissez quelques fruits dans le creux d’une branche (barrez 1 repas de votre feuille d’aventure) et vous éclipsez sans réveiller la roussette géante qui ronfle doucement. Vous gagnez 1 point de Chance.

Vous reprenez votre route vers le poste de traite, rendez-vous au 91.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.


×
×
  • Créer...

🍪 Vous prendrez bien quelques cookies ?

Notre système requiert l'installation de certains cookies sur votre appareil pour fonctionner.