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Ecriture


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Posté(e)

Bonjour la communauté  

Petite question, comment gérer vous un pj voulant écrire un ouvrage pour y expliquer ce qu'il a apprit ? Niveau de difficulté, gain d'exp, points de tâches à accomplir, jets  faire tout les combien de temps et sans doute d'autres questions que je n'ai pas encore imaginé. ;)

Et selon vous, que peut on y mettre dedans, xp de compétences, bonus de synthèse de sorts, bonus de case, points de sort, autre ? 

Merci d'avance :)

  • Kanaillou en Chef
Posté(e)

Tenir un journal de voyage est à la portée de tout le monde, il ne sera donc pas question de difficulté (outre celle de s'y tenir) mais - éventuellement - uniquement de la qualité de l'œuvre, allant du simple inventaire laconique à une œuvre romanesque. Selon moi, l'expérience acquise lors de cet exercice devrait être exclusivement répartie entre Intellect (mémoire) et Écriture, à raison d'un test hebdomadaire maximum.

De même, il ne peut pas être question de points de tâche, puisqu'il n'y a pas de fin prévue ; à moins qu'il ne soit plus question de la tenue d'un journal de voyage écrit au jour le jour, mais de la rédaction d'une auto-biographie postérieure au évènement et dont on connait par avance la durée.

Par contre, je ne suis pas sûr de comprendre ta dernière question à propos de "ce qu'on peut mettre dedans". Tu veux parler d'éventuels bénéfices pour un lecteur futur ?

Posté(e)
Le 11/06/2022 à 11:51, Kroc a dit :

Par contre, je ne suis pas sûr de comprendre ta dernière question à propos de "ce qu'on peut mettre dedans". Tu veux parler d'éventuels bénéfices pour un lecteur futur ?

Tout à fait !

Pour faire des grimoires comme dans les exemples dans le livre de base. :)

  • Kanaillou en Chef
Posté(e)

En ce qui me concerne, pour tout ce qui tien au tout-rêve, je pense que le PJ sont forcément trop loin du niveau requis, du temps et du calme nécessaire pour leur autoriser la création d'un quelconque grimoire. Tout au plus, les meilleurs d'entre-eux pourraient éventuellement recopier un grimoire existant en leur possession, avec de sérieux risques d'échec.

En dehors du haut-rêve, le seul bénéfice possible pour le lecteur pourrait venir de la lecture d'un manuel détaillé lié à une connaissance (zoologie, botanique, alchimie ou autre) ou à la rigueur pour certaines compétences spécialisées (chirurgie, maroquinerie, ...) ou particulières (charpenterie, maçonnerie) dont la partie théorique pourrait être acquise par la lecture. Mais dans ce cas, il faudra limiter le gain possible car la théorie seule ne peut pas remplacer la pratique et l'observation des gestes d'un maître. Disons que pour un compétence de connaissance, l'auteur peut rédiger un manuel qui permet un gain égal à son propre niveau (voir ci-dessous), mais que pour les compétences qui requièrent de la pratique, il ne pourra pas espérer faire progresser le lecteur au-delà de la moitié de son propre niveau.

Pour le coup, il est possible de fixer dès le départ le temps nécessaire à la rédaction de ces manuels. Pour le calcul des points de tâche et de la périodicité, je pense qu'on pourrait partir du tableau de dépense des points de création des personnages :

PdT.jpg

et considérer 1 point de tâche par point du tableau et une périodicité de 1 jour. Comme la plupart des manuels, en plus du texte auront besoin de schémas et d'illustrations, le rédacteur devra sans doute tester sa compétence de dessin en plus de l'écriture.

Prenons l'exemple de Zigomar. Il souhaite rédiger 2 manuels : un traité de chirurgie et un de botanique. Pour la botanique, son niveau actuel est de +1. Cette compétence étant entièrement théorique, il n'est pas limité. La base de botanique étant à -11, selon le tableau ci-dessus, le meilleur manuel qu'il puisse écrire demanderait 135 points de tâche avec une périodicité de 1 jour. De plus, il devra tester son dessin conjointement à son écriture car il devra dessiner les plantes dont il parle (s'il rédigeait un manuel à propos des légendes, il n'aurait pas besoin de dessiner).

Pour son traité de chirurgie, Zigomar a également un niveaux de +1, mais comme le lecteur ne le verra pas pratiquer, le mieux que Zigomar puisse faire est 135/2=67,5 et là encore, la compétence de dessin sera nécessaire.

Dans la mesure où il est peu probable que les PJ puissent consacrer très souvent des journées entières à l'écriture, tu pourrais considérer qu'une journée = 10 heures et partir sur 10 fois plus de points de tâche mais avec une périodicité de seulement 1 heure.

Pour la lecture du manuel, on peut raisonnablement partir sur 1/10° du temps d'écriture et le gain en point d'expérience sera égal à 1/10 des points de tâche consacrés par le rédacteur, donc 13 points d'expérience pour le traité de botanique de Zigomar et 6 points d'expérience pour son traité de chirurgie.

Bien entendu, tout ça n'est qu'une suggestion : chacun fait ce qu'il veut. 😉

  • Scriptarium
Posté(e)

Dans les écrits des règles, on atteint généralement 20 points d'expérience dans un ouvrage, rarement plus de 30, et jamais plus de 40, Le niveau de l'auteur (supposé  d'après le niveau max de l'ouvrage) ne semble pas directement lié à l'expérience contenue dans le livre.

Pour passer de -11 à +11, il faut 555 points d'expérience.

Pour passer de -11 à +6, il faut 255 points d'expérience.

On peut donc estimer qu'un auteur arrive difficilement à transmettre plus de 10% de son expérience, voire de l'ordre de 3% pour les traités les plus rébarbatifs. Le lecteur sait peut-être déjà ce qu'il est en train de lire...

Ca ne répond donc pas à la question, mais effectivement, écrire un livre va prendre du temps, des parchemins. Il faut sans doute considérer le niveau de l'auteur au début de l'ouvrage, les échecs particuliers et totaux lors de l'écriture vont augmenter la difficulté de lecture.

Mais au final, je en crois pas qu'une règle réponde vraiment à tous les sujets, il y a une grande part d'interprétation du gardien.

 

 

  • Kanaillou en Chef
Posté(e)

Bonjour Vincent,

Le 12/06/2022 à 22:05, Vincent Vandemeulebrouck a dit :

Le niveau de l'auteur (supposé  d'après le niveau max de l'ouvrage) ne semble pas directement lié à l'expérience contenue dans le livre.

Je ne comprends pas ce que tu veux dire avec cette phrase. 🤔

Le 12/06/2022 à 22:05, Vincent Vandemeulebrouck a dit :

On peut donc estimer qu'un auteur arrive difficilement à transmettre plus de 10% de son expérience

C'est également la conclusion à laquelle j'étais arrivé : on ne peut gagner qu'1/10° du savoir investi dans l'ouvrage.

  • Scriptarium
Posté(e) (modifié)
Le 13/06/2022 à 17:16, Kroc a dit :
Le 12/06/2022 à 22:05, Vincent Vandemeulebrouck a dit :

Le niveau de l'auteur (supposé  d'après le niveau max de l'ouvrage) ne semble pas directement lié à l'expérience contenue dans le livre.

Je ne comprends pas ce que tu veux dire avec cette phrase. 🤔

Je regardais les ouvrages décrits dans les règles, pour certains, le niveau maximum est très élevé (donc un auteur de niveau très élevé), mais l'expérience très faible

Citation

Songes Infinis par Artomik le Pensif
Pensées. Difficulté -2, 8 points de tâche, 12 points d’expérience en Légendes, niveau maximum +7

Lamenticides par Waldemar de Gnia
Poèmes. Difficulté -4, 12 points de tâche, 12 points d’expérience en Légendes, niveau maximum +9.

Soit de l'ordre de 2-3% de l'expérience de l'auteur

Parfois, l'expérience est plus élevée...

Je pensais proposer des idées pour déterminer l'expérience contenue en fonction du degré de réussite des jets de création du livre (donc, selon le temps estimé, 50 jets de tâche / création). Par exemple, chaque point de tâche négatif ajuste d'autant la difficulté de lecture, chaque point de qualité met 1xp dans le livre, on peut dépenser des point d'xp pour atténuer la difficulté de lecture (1xp ou 5xp pour compenser un -1 ?). 

Pour le max d'expérience, je pense que comme max, l'xp total correspondant au niveau est une bonne référence, peut-être prendre l'Empathie/2 en %: un auteur avec 6 en empathie transmet 3% de son expérience? Un maître (niveau +10), avec 6 en empathie (pas capable de se mettre à la place de ses lecteurs) transmet environ 14 points d'expérience. Avec un niveau 6 et 15 en empathie, on peut transmettre 42 points.

Bref, des idées, que j'ai trouvée très calculatoires et rébarbatives, que j'ai enlevées de mon premier post.

 

L'auteur pourrait aussi essayer de synthétiser et résumer son travail, pour diminuer le nombre de points de tâche de lecture (ou densifier son propos), auquel cas ses points de tâches pourraient venir diminuer le nombre de points requis (par défaut, les points de tâche sont égaux à l'xp, on pourrait aller jusqu'à diviser par deux les points de tâche requis).

A noter, j'ai personnellement ajouté parfois un niveau minimum dans certains livres (comme pour les méthodes). Un livre de recettes de cuisines, avec -4 en cuisine, ça n'apprend pas à obtenir un roux blond, ça dit juste de partir d'un roux blond...

 

Modifié par Vincent Vandemeulebrouck
  • Kanaillou en Chef
Posté(e)
Le 13/06/2022 à 17:47, Vincent Vandemeulebrouck a dit :

Je regardais les ouvrages décrits dans les règles, pour certains, le niveau maximum est très élevé (donc un auteur de niveau très élevé), mais l'expérience très faible .../... Soit de l'ordre de 2-3% de l'expérience de l'auteur

Parfois, l'expérience est plus élevée...

Ça peut marcher avec la méthode que j'ai proposée : le niveau max possible dépend du niveau de l'auteur, mais le gain d'expérience suite à la lecture dépend du nombre de points de tâche investis (du travail d'écriture).

C'est également combinable avec notion que tu as évoquée :

Le 13/06/2022 à 17:47, Vincent Vandemeulebrouck a dit :

A noter, j'ai personnellement ajouté parfois un niveau minimum dans certains livres (comme pour les méthodes). Un livre de recettes de cuisines, avec -4 en cuisine, ça n'apprend pas à obtenir un roux blond, ça dit juste de partir d'un roux blond...

Ainsi, 12 points d'expérience (seulement) pour un niveau d'expérience +9 pourrait raisonnablement impliquer un niveau requis d'au moins +4 au lecteur, faute de quoi il ne pourra pas comprendre les bases auxquelles l'ouvrage se réfère.

Autrement dit : l'auteur n'a pas passé beaucoup de temps sur ce livre, car il voulait se focaliser sur un point précis, pas forcément abordable pour tout le monde.

Posté(e) (modifié)

En m’intéressant à la question, j'étais parti sur quelque chose de similaire à Kroc en prenant comme base la table de progression. Cependant, il est très difficile de vouloir prendre en compte tous les éléments pouvant entrer dans la réalisation d'un ouvrage de transmission (connaissance de l'auteur et du lecteur, temps disponible de recherche, sujet spécifique liée à la connaissance traitée dans l'ouvrage (Exemple : "les conifères" sur un livre de botanique - toute une connaissance ne se transmet pas en une fois), les capacités pédagogiques de transmission, d'écriture, de dessin...

Et tout cela pour un résultat bien trop complexe et mathématique pour le résultat attendu et quelques points d’xp. Donc, amha, il faut faire simple, car le plaisir est dans la réalisation du livre, dans la sauvegarde du manuscrit qui vient de s’envoler avec le sac dans les mains d’un singe bleu , dans la curiosité des pnjs qui verront le personnage écrire à la taverne… L’investissement doit créer du jeu, car 20 ou 30 xp ne changeront rien.

Je partirai donc plus facilement sur un "livre type", adaptable aux capacités de l'auteur et dont les caractéristiques seraient modifiables en fonction d'un simple jet de qualité en fin de tâche.

En premier jet, cela donne :

Révélation

Pour ce jet, je prendrai INTELLECT et la plus faible des compétences nécessaires à l'auteur (écriture, dessin ou connaissance...), car elle limitera de toute manière la capacité de transmission. Une grosse tête en astrologie ne pourra rien faire s'il n'a jamais appris à écrire.

J'imagine très bien un voyageur écrire ses mémoires sur la route (légende), un recueil de poésies ou de musiques ou même un ensemble d'observations botaniques, zoologiques ou autres. Cela mettra du temps et il faudra consacrer quelques jours à se poser pour des recherches ou mettre en ordre tout cela, mais pourquoi pas ?

Du coup, je partirai sur une sorte de contrat avec le joueur : "Il te faudra X jours en moyenne, car en voyage tu ne pourras pas écrire plus de X heures/jours. Si tu profites d'une pause entre 2 aventures ou autre, nous considérerons le même temps de travail, car le surplus sera consacré à la relecture, mise en forme, recherche … nécessaires."

Pour les points de tâche, la règle rappelle qu'un nombre important de jets valorise les points positifs. Donc rien ne sert d'en faire trop en se disant que cela sera plus difficile. De plus, je trouve l’intérêt de faire un jet par jour peu attrayant. Comptabiliser les heures d'écritures me semble aussi rébarbatif et un calcul à la louche me conviendrait à la condition que le joueur pense à déclarer régulièrement qu'il passe du temps à ce travail (sinon, pas de jet pour la période).

Le calcul de la base des pts de tâche peut aussi se servir du tableau de progression, en prenant l’expérience du niveau comme nombre de jours de travail. Pour un livre de niveau +3 max, il faudrait 175 jours, soit 6 (6.25) mois de travail à raison de 2 heures par jour (175/28 jours). Le même auteur pourrait aussi écrire son livre à quelques xp en 44 jours avec 8 heures de travail par jour. Le temps de création est donc 4 fois plus long en voyage.

En faisant, un jet par mois (si le pj a pu y consacrer les heures nécessaires) pour un nombre de points de tâche égal au nombre de mois, la base semble viable.

Base de livre

- Titre

- Compétence développée et sujet de transmission (exemple : les conifères)

- Niveau maximum : Au choix de l'auteur en prenant son propre niveau comme maximum (laissant ainsi la possibilité de faire un livre pour débutant même pour un spécialiste du domaine)

- Difficulté de lecture : base égale au niveau maximum atteignable en négatif (ou égal à la compétence négative ayant participé à la création si plus élevée).

- Point d'expérience : 1/2 pt d'expérience nécessaire pour atteindre le niveau maximum de l'ouvrage. Exemple : un livre niveau +4 max en astrologie va donner une base de 20/2 = 10 xp

- Points de tâche : Nb de mois avec une périodicité mensuelle et une difficulté de base de 4.

(La difficulté pourra être augmentée d’un point en raison des problèmes matériels)

 

Il resterait à définir un pool de points négatifs ou positifs à répartir, avec une base de 1 pour 1, en fonction du jet de qualité sur : le nombre d’xp acquis, la difficulté de lecture, le niveau maximum atteint.

 

 

 

 

Modifié par tham45
  • Scriptarium
Posté(e)
Le 13/06/2022 à 19:43, tham45 a dit :

Et tout cela pour un résultat bien trop complexe et mathématique pour le résultat attendu et quelques points d’xp. Donc, amha, il faut faire simple, car le plaisir est dans la réalisation du livre

Tout dépend des joueurs, et de leur volonté de garder trace de la progression, de ce qu'on met derrière chaque jet quotidien, de remplir feuille de parchemin sur feuille de parchemin, de rageusement jeter le pages irrécupérables suite à un encrier renverser.

Le système encourage déjà les joueurs à passer du temps à méditer régulièrement (éventuellement à s'entraîner, mais c'est plus rare), l'écriture du livre peut aussi être une alternative à la méditation quotidienne.

Dans l'ensemble, le grappillage de petits jets de dés (occasion de progresser par l'expérience) a quand même la part belle dans le jeu, c'est la seule manière de gagner de l'expérience en caractéristique, et ça permet de ne pas être dépendant du stress. D'ailleurs, comment la meilleure incarnation dans une compétence a-t-elle dépassé les autres?

Bref, je ne ferais pas jouer un système aussi complexe par défaut, mais j'ai bien un personnage à une table qui pourrait vouloir produire son propre ouvrage, donc c'est des idées pour le cas-où.

Posté(e)
Le 13/06/2022 à 19:43, tham45 a dit :

En premier jet, cela donne :

  Révéler le contenu masqué

Pour ce jet, je prendrai INTELLECT et la plus faible des compétences nécessaires à l'auteur (écriture, dessin ou connaissance...), car elle limitera de toute manière la capacité de transmission. Une grosse tête en astrologie ne pourra rien faire s'il n'a jamais appris à écrire.

J'imagine très bien un voyageur écrire ses mémoires sur la route (légende), un recueil de poésies ou de musiques ou même un ensemble d'observations botaniques, zoologiques ou autres. Cela mettra du temps et il faudra consacrer quelques jours à se poser pour des recherches ou mettre en ordre tout cela, mais pourquoi pas ?

Du coup, je partirai sur une sorte de contrat avec le joueur : "Il te faudra X jours en moyenne, car en voyage tu ne pourras pas écrire plus de X heures/jours. Si tu profites d'une pause entre 2 aventures ou autre, nous considérerons le même temps de travail, car le surplus sera consacré à la relecture, mise en forme, recherche … nécessaires."

Pour les points de tâche, la règle rappelle qu'un nombre important de jets valorise les points positifs. Donc rien ne sert d'en faire trop en se disant que cela sera plus difficile. De plus, je trouve l’intérêt de faire un jet par jour peu attrayant. Comptabiliser les heures d'écritures me semble aussi rébarbatif et un calcul à la louche me conviendrait à la condition que le joueur pense à déclarer régulièrement qu'il passe du temps à ce travail (sinon, pas de jet pour la période).

Le calcul de la base des pts de tâche peut aussi se servir du tableau de progression, en prenant l’expérience du niveau comme nombre de jours de travail. Pour un livre de niveau +3 max, il faudrait 175 jours, soit 6 (6.25) mois de travail à raison de 2 heures par jour (175/28 jours). Le même auteur pourrait aussi écrire son livre à quelques xp en 44 jours avec 8 heures de travail par jour. Le temps de création est donc 4 fois plus long en voyage.

En faisant, un jet par mois (si le pj a pu y consacrer les heures nécessaires) pour un nombre de points de tâche égal au nombre de mois, la base semble viable.

Base de livre

- Titre

- Compétence développée et sujet de transmission (exemple : les conifères)

- Niveau maximum : Au choix de l'auteur en prenant son propre niveau comme maximum (laissant ainsi la possibilité de faire un livre pour débutant même pour un spécialiste du domaine)

- Difficulté de lecture : base égale au niveau maximum atteignable en négatif (ou égal à la compétence négative ayant participé à la création si moins élevée).

- Point d'expérience : 1/2 pt d'expérience nécessaire pour atteindre le niveau maximum de l'ouvrage. Exemple : un livre niveau +4 max en astrologie va donner une base de 20/2 = 10 xp

- Points de tâche : Nb de mois avec une périodicité mensuelle et une difficulté de base de 4.

(La difficulté pourra être augmentée d’un point en raison des problèmes matériels)

 

Il resterait à définir un pool de points négatifs ou positifs à répartir, avec une base de 1 pour 1, en fonction du jet de qualité sur : le nombre d’xp acquis, la difficulté de lecture, le niveau maximum atteint.

 

Une bonne base de réflexion, merci. :)

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