Je vous invite a revoir la charge des rohirimm du film de PJ pour parler d'intensité
Et encore on est à 10% e ce que transmet le Roman
Après c'est peut être le problème de toute adaptation en image : Rien n'est plus fort que l imagination et d'autant plus avec Tolkien qui est subtil (imprécis dirons d'autres). Une image, de cinéma surtout , se doit d'être précise.
Prenons l exemple de Galadriel : En lisant le livre nous avons tous compris que c’était un être exceptionnel. Peter Jackson en a fait un être maitrisant la magie, capable de clairvoyance, d'une volonté inflexible mais aussi d une part d'ombre. Et c'est plutôt juste je pense par rapport a ce qu on s’était tous imaginé.
Dans la série, elle est un peu en deçà. Elle est "juste" une amazone. On a perdu un niveau de subtilité. A la trappe sa puissance intérieure, sa part d'ombre (bon OK part certain coté, je me suis demandé si ce n’était pas elle Sauron ;) ), son histoire exceptionnelle (disciple de Melian, elle a du apprendre un ou deux truc). On y est presque a certains moment mais ce n'est pas développé "vous n'avez pas vu ce que moi j'ai vu" (tu m étonnes). On est quelque fois devant une ado de 5000 ans, alors que quand elle rentre dans une pièce, elle devrait en imposer, "ne me prenez pas pour une elfe de pacotille" (copyright Gandalf). La présence est un élément de l’œuvre quand même, c'est ça qui donne de l épique, . C'est cette présence qui la pré suppose badass, pas des acrobaties équines.
Bon et si demain, ils font naitre une idylle entre Galadriel et Halbrand (ils commencent trop a suggérer quelque chose je trouve). Je brule ma télé.