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Elvin Presse-lait

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Tout ce qui a été posté par Elvin Presse-lait

  1. 176. Lancez cinq dés. Vous pouvez, si nécessaire, relancer les cinq dés une seconde fois au prix d’un point de chance (réduisez votre CHANCE de un point). Si la somme des cinq dés est inférieure ou égale à votre total actuel d’ENDURANCE, vous parvenez à bondir de l’autre côté sans heurt, rendez-vous au 270. Si la somme est supérieure à votre total actuel d’ENDURANCE, vous ne parvenez pas à sauter suffisamment loin et atterrissez dans l’eau glaciale de la rivière tumultueuse, rendez-vous au 52. -------------------------------------------------------------------------------------------- 270. Après un regard en arrière pour apprécier la distance plus que respectable que vous venez de sauter, vous poursuivez votre progression le long du boyau. Celui-ci se rétrécit à nouveau et, perdant les caractéristiques d’un boyau naturel, vous fait progresser maintenant dans un tunnel creusé certainement par des nains, des traces d’excavation sont encore présentes par endroits. Visiblement, ils ont dû opérer une jonction au niveau de la rivière souterraine afin d’y jeter des gravats inutiles. C’est donc courbé que vous découvrez après quelques pas un premier corps en décomposition. Il s’agit d’un nain, un mineur à voir ses vêtements même si vous ne trouvez nulle trace de la pioche qu’il devait porter. Un peu plus loin vous trouvez un deuxième corps de nain, lui-même est prostré comme le premier et son état montre qu’il est mort en même temps que son camarade. Pour lui aussi, pas de trace de son outil de travail. Vous jetez un œil attentif vers le fond du tunnel car maintenant vous n’avez pas de doute, les deux mineurs sont morts en fuyant. L’idée de faire demi-tour vous effleure, mais retrouver la rivière puis le monstre bicéphal vous fait grimacer et, aux aguets, vous avancez lentement le long du tunnel qui vous semble désormais bien plus oppressant qu’étroit. Rendez-vous au 67. -------------------------------------------------------------------------------------------- 67. A mesure de votre progression, votre sentiment d’oppression ne cesse de croître. Par instants, il vous semble percevoir un mouvement sur la roche ou un chuchotement dans le silence. Après une bifurcation, vous distinguez une ouverture creusée sur votre droite. Un peu plus loin face à vous, un énorme éboulis vous coupe toute possibilité de progression. Si l’effondrement du tunnel est possible, vous êtes rapidement convaincu que l’obstruction était volontaire. Il y a ici tous les ingrédients d’un danger réel. Votre attention se retourne vers l’ouverture qui a dû être découverte lors du percement du tunnel. Les ténèbres fuyant la lumière de votre torche, vous découvrez le début une grande pièce, dont le sol fait de grandes dalles régulières est légèrement en contrebas de l’ouverture. De grandes colonnes sculptées d’impressionnantes arabesques s’enfoncent vers le plafond que vous ne distinguez pas. Après quelques pas dans cette pièce, vos sens semblent vous jouer des tours et la danse de votre flamme anime l'obscurité qui vous entoure en une folle sarabande. Sur les murs sont représentées des créatures grotesques commettant nombres de méfaits odieux. Finalement, alors que vous avancez vers le centre de la pièce, une silhouette noire, floue et ondulante se découpe à la lumière de votre torche soudain vacillante. Celle-ci vous scrute si intensément que vous avez la désagréable sensation que c’est votre âme que cette chose voit bien au-delà de votre corps. A ses pieds, se trouve un nain en guenille à genoux, les bras ballants. L'aspect famélique du pauvre hère indique qu’il n’a pas connu un repas depuis bien longtemps. Son visage est tourné vers le sol. Il n’émane de lui que de la résignation et du désespoir. Alors que les chuchotements reprennent de plus belle, avec une voix sans âme aux accents lourds, la chose s’exprime, mais visiblement pas à votre intention: “Enfin un visiteur qui n’est pas insignifiant… ce mortel à une âme bien sombre et ses mains sont couvertes d’un sang qui n’est pas qu’impur. Les ténèbres le pourchassent déjà. Est-il à la hauteur? L’épreuve, oui, l’épreuve il doit passer”. Alors que des chuchotis ressortent une certaine excitation, que faites vous? Si vous vous ruez vers la chose pour l'attaquer, rendez-vous au 32. Si vous voulez vous adresser au nain en espérant une réponse, rendez-vous au 179. Si la fuite vous semble la meilleure des choses à faire, rendez-vous au 203. Enfin, si vous voulez voir comment la situation va tourner en restant sur vos gardes, rendez-vous au 314. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Je rends la main.
  2. Les points intermédiaires sont déjà fixés me semble-t-il avec le trajet jusqu'au poste de traite, le trajet jusqu'au donjon et le donjon (j'en ai peut-être oublié un)? Pour l'objectif du livre, sans rentrer dans les détails, je voyais un combat final avec une issue divisée 2 branches : - 1 où le chiffre de meurtre est bas; - 1 où le chiffre de meurtre est haut; Chaque branche serait elle même divisée en deux fins: - 1 avec un choix dit "loyal" ; - 1 avec un choix dit "chaotique"; J'ai évité les termes "bon" et "mauvais" pour éviter les confusions de sens, moralement le personnage est quand même très ambigu avec un lourd passé et il n'y a pas de bon ou de mauvais choix. Ainsi, une fin avec meurtre haut et un choix chaotique serait tout aussi grandiose qu'une fin loyale avec des meurtres bas... Je pourrais développer plus mon idée, je suis resté le plus évasif possible pour ne pas vous "imposer" une vision de l'objectif final.
  3. euh... quoi ça? Si je comprends, l'idée est d'écrire la fin avant de reprendre le déroulé? Changement de cap donc, mais oui cela a du sens. Mais du coup, ce serait plus sympa que l'on soit d'accord sur la fin plutôt qu'il y ait une simple prise de main... en tout cas, j'ai mon idée... ;-)
  4. 23. Après quelques secondes d’hésitation face à votre surprenante interlocutrice, vous ouvrez la bouche pour lui répondre, mais celle-ci vous devance : « ouiiiii, je le sens aussi... vous avez diiiné... mais c’est vous la proie à cette heure ciiiiii , iiiiil est tout prêt, iiiil vient pour vous, mon arbre est votre répiiiiis... » C’est alors que le chiroptère géant écarte ses ailes grandioses et fait mine de vous enlacer... votre cicatrice vous démange alors à la limite de la douleur, les oreilles imposantes de la chose semblent vibrer alors que ses grands yeux oranges vous fixent avec une intensité fascinante. Allez-vous laissez la créature vous envelopper dans la membrane noire de ses ailes articulées (rendez-vous au 233 ) ou, conscient du danger imminent qui se referme sur vous, vous plongez votre lame dans son torse sans protection (rendez-vous au 116). -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 73. D’un geste vif et précis vous sortez votre lame face à l’immense chiroptère qui, non moins rapidement, déploie ses ailes immenses qui vous percutent, vous faisant basculer de votre étroit perchoir. « Imbéciiiiile » sera le commentaire désagréable qui accompagnera votre chute tout aussi désagréable. Pour connaître les conséquences de votre chute, tentez votre chance. Si vous êtes chanceux, vous tombez entre les noueuses racines de l’arbre mais la chute vous enlève tout de même 1d divisé par deux points d’endurance. Si vous êtes malchanceux, c’est 1d points de vie qui vous échappent et votre jambe heurte lourdement une des racines, la douleur immédiate pose une sentence terrible puisque vous perdez également 1 point d’habileté. Dans tous les cas, c’est avec difficultés que vous vous redressez la main appuyée sur le tronc qui vous abritez quelques secondes plus tôt, main dont la cicatrice sur votre poignet semble palpiter à la limite de la douleur. « Ça alors, ma proie tombe du ciel » murmure doucement une petite créature d’une voix non moins menaçante. Rendez-vous au 245. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 116. D’un geste vif et précis vous plongez votre lame en plein dans le torse de l’immense chiroptère, qui ne laissera échapper qu’un pathétique gargouillis témoin de son agonie. (vous pouvez rajouter 1 meurtre sur votre feuille de personnage). Hélas, lâchant sa prise la créature bascule alors, vous entraînant dans une chute vertigineuse. Pour connaître les conséquences de votre chute, tentez votre chance. Si vous êtes chanceux, vous tombez entre les noueuses racines de l’arbre mais la chute vous enlève tout de même 1d divisé par deux points d’endurance. Si vous êtes malchanceux, c’est 1d points de vie qui vous échappent et votre jambe heurte lourdement une des racines, la douleur immédiate pose une sentence terrible puisque vous perdez également 1 point d’habileté. Dans tous les cas, vous voilà commotionné et couvert par le cadavre de cette satanée roussette, vos sens se concentrent alors sur la cicatrice sur votre poignet qui semble palpiter à la limite de la douleur. Instinctivement mais aussi par impuissance, vous restez immobile. Des bruits de pas s’arrêtent à quelques centimètres de vous. Une voix faible à la limite du murmure vous parvient alors vous faisant trembler l’échine. « Non, ceci n’est pas ma proie. Je m’en nourrirai bien, mais non... il faut faire vite, oui, je dois retrouver ma proie ». Immobile, vous entendez les pas s’éloigner rapidement. Certainement à cause de la chute, vous perdez alors connaissance. Rendez-vous au 147. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Pris par mon élan ( aucune référence salace...) j'ai juste oublié comment accéder à l'organigramme et je n'ai pas vérifié le cheminement qui amène à la roussette ... du coup, ce que vient de pondre n'a de sens que si notre héros n'a jamais combattu le cornu... de plus lors de la rencontre déjà écrite prés de la charette, il n'y avait pas de sensation au poignet pour notre héros du fait de sa présence... Bref, je sens que c'est bancale mon truc, mais bon, fallait reprendre et faire baisser vos pourcentages! ;-) Je rend la main (avec le poignet) Non, en fait c'est ok pour le cheminement (organigramme mis à jour), reste cependant la question du poignet...
  5. Et hop, je prends la main pour le paragraphe 23! ;-) Ça sent le roussette pour notre héros... allez, bonne reprise à tous! ;-)
  6. Euh... euh... que dire... Euh, ah oui, j'ai juste oublié de préciser l'année ! Faut relancer la machine... j'avais une idée pour la chauve souris géante ! Si le projet n'a pas rejoint le plan de Mort, je prend la main d'ici lundi..
  7. C'est malin, maintenant ça donne envie de rejouer les " Loup Solitaire"!
  8. Les joueurs d'archers de ma table seraient super frustrés je pense... je risquerai même le putsch! D'ailleurs, les règles de base ne prévoient-elles pas la possibilité de tirer plusieurs fois? (ambiance Voltan le barbare pour qui connait ce nanar d'anthologie...)
  9. Salut, je dois urgemment remettre des paragraphes en ordre IRL et je vous rejoindrai avec plaisir au plus tard à la fin mois pour poursuivre les aventures de notre cher balafré de la manche !
  10. Pour les meurtres je suis pour 1 seul également.. Sur le problème du lieu, il me semblait avoir pris en compte le problème dans l'écriture... De plus le décor n'étant pas décrit dans les paragraphes concernés, les conversations identiques ne posent pas de problème de mon point de vue puisqu'à l'issue ce sont les mêmes destinations qui sont possibles... Il me semble ainsi que cela ne gêne pas la cohérence de la narration.... Pour le 76, bien vu, il faut trouver quelque chose qui ne fasse pas référence au bruit... Je n'y avais pas pensé, mais je voulais surtout éviter la démultiplication des paragraphes pour cette zone. Pour le boyau latéral j'avais l'idée d'un éboulement en amont qui empêche toute retraite et pourquoi pas un objet particulier... Mais bon, pas de souci tout n'est pas écrit ! Enfin la rivière peut être un affluent de la rivière principale. Je n'y vois pas de problème.
  11. 391. Vous progresser lentement dans une galerie à forte déclinaison relativement large taillée dans la roche qui suit avec maestria l’ancien filon de minerais dont il ne reste à cet endroit que quelques traces reflétant par instant la flamme de votre torche. Vous commencez à apercevoir un petit boyaux étroit sur votre gauche lorsque soudain, votre progression est interrompue par un bruit qui attire votre attention en contrebas. Ce sont des voix dont les échos de conversations vous parviennent encore faiblement. Instinctivement vous étouffez au maximum la lumière de votre torche en plongeant son extrémité dans une faille du mur prés de vous. Scrutant l’obscurité devant vous apercevez une lumière diffuse remontant d’un coude de la galerie principal. Les voix se font désormais plus fortes. Vous n’avez que peu de temps pour agir. Si vous voulez remonter à toute vitesse le couloir et prendre la seconde galerie, rendez-vous au 15. Si vous souhaitez vous cacher dans le boyau étroit en espérant que les créatures ne vous remarquent pas, rendez-vous au 153. Si vous souhaitez attendre l’arme à la main les créatures qui vont vous rejoindre, rendez-vous au 87. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 87. Certainement alerté par la lumière de votre torche, les voix s’arrêtent brusquement. Quelques secondes plus tard, c’est une créature humanoïde à deux têtes qui apparaît sous vos yeux! La créature fait plus de deux mètres de haut et se déplace le dos voûté, l’air menaçant ses quatre yeux rivés sur vous. Le corps, quoique grand, est décharné et l’un des bras maigre tient une lanterne alors que l’autre étreint une impressionnante massue cloutée maculée de sang frais. La première tête, avec visage de femme plutôt séduisant s’il n’était pas rattaché à un corps aussi monstrueux, détachant les yeux de vous, dit « Tu vois, j’avais raison, y’a un deuxième cafard! Il a déjà pris notre trésor c’est sûr». La deuxième tête, celle d’un l' homme à la barbe broussailleuse lui répond alors avec colère « oh, ça va bien, je vais l’écraser comme j’ai écrasé l’autre et la question elle est vite répondue ! » Outrée le visage de femme se renfrogne : « comment ça TU l’as écrasé, s’est mon bras qui l’a écrasé ! » Vous pouvez profiter de ce moment de distraction pour attaquer la créature rendez-vous au 224. Si vous souhaitez l’interpeller, rendez-vous au 231. Si vous souhaitez ranger votre arme et ramener la concorde entre les deux têtes et leur assurer que vous n’en avez pas après leur trésor, rendez-vous au 76. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 153. Vous trouvez une cachette derrière un éboulis du petit boyau à faible distance de l’intersection, vous éteignez votre torche et tirez votre épée hors de son fourreau. Quelques secondes plus tard, c’est une créature humanoïde à deux têtes qui apparaît sous vos yeux! La créature fait plus de deux mètres de haut et se déplace le dos voûté. Le corps, quoique grand, est décharné et l’un des bras maigre tient une lanterne alors que l’autre étreint une impressionnante massue cloutée maculée de sang frais. La première tête, un visage d’homme à la barbe broussailleuse dit « Je t’avais dis qu’on serait revenu trop rapidement pour qu’on nous vole notre trésor, ce petit cafard on l’a vite écrasé! ». La deuxième tête, celle d’une femme lui répond alors « Oui, c’est vrai… mais… »dit-elle en retroussant son joli petit nez en trompette « ...ne sens-tu pas une odeur de fumée ? » « Mais non, tu dis encore n’importe quoi ! » A votre grand désarroi, la créature s’arrête malgré tout au niveau de l’intersection et vous la voyez humer l’air de ses quatre narines à grand renfort de bruit de respiration. Vous pouvez profiter de ce moment de distraction pour attaquer la créature rendez-vous au 224. Si vous souhaitez l’interpeller, rendez-vous au 231. Si vous souhaitez prendre le risque de vous enfoncer dans le noir du petit boyau latéral dans lequel vous êtes caché malgré son apparente fragilité rendez-vous au 330. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 391 était très très différent au départ, mais ma lenteur d'écriture à fait que la description du couloir et la rencontre de l'ogre végétarien 2 en 1 s'est imposée et je suis revenu à des paragraphes passerelles pour garder de la cohérence au tout. Comme il s'agissait de descendre la galerie sans piocher, croiser la créature était inéluctable... seule nouveauté, le boyau latéral obscur et sombre... La main est libre.
  12. Je te propose un point après "offre" puis "Dans ce cas" ou même rien! Comment, le 391? J'y travaille mon bon monsieur!
  13. Non mais ça va bien! Je me fais piquer pour ma deuxième dose COVID, 36h ko, je reviens sur le forum, et on passe de la page 9 à la page 11!! Et du lourd en plus! C'est pas sérieux! J'ai commencé à écrire mon 391, mais je dois recommencer vu ce qu'il a été écrit concernant le tunnel qui descend... cela dit, je m'interroge de plus en plus sur l'ampleur que peut prendre la grotte sur les 100 paragraphes de la 1ère partie... il ne risque pas d'y avoir un déséquilibre? Sur la question des meurtres, je trouve ça plutôt intéressant: - d'une part j'ai jamais vu ça dans un LDVH -d'autre part le meurtre peut être pensé comme "le héros attaque sans avoir été agressé au préalable" pensant ou non... le mécanisme touche au for intérieur du perso et non aux autres... pulsion de mort ou pas. -enfin, le fait de noter le nombre de meurtres pourrait avoir une influence sur le "combat final" qui pourrait ne pas être à sens unique mais offrir deux conclusions opposées: 1- le héros fait le choix du chaos (ex:supprimer KC par la violence) et un nombre important de meurtre devient un bonus 2- le héros fait le choix du bien (ex: exorciser KC d'un démon démoniaque poulpique pourpre) ou ce nombre devient un malus. Bien sûr la question de ce choix (j'aime tuer/je ne veux plus tuer) devrait apparaitre dans l'écriture des situations. C'est mon avis.... cela dit, vivement que vous arriviez tous les deux à 40%...
  14. Une nouvelle fois, le paragraphe 13 était bien pour moi un paragraphe fatal où j'avais imaginer que le joueur pouvait apprendre, même si le perso mourrait, que Kym'chull était bien le commanditaire des assassinats... Pour tout dire, le 13 tel qu'il est écrit me parait bien coller comme suite à "la créature réussit à vous faire plier". Y'a un petit côté sadique car la mort n'est pas annoncée (le perso perd le combat, que va-t-il arriver?), le paragraphe 13 en devient plus percutant... ce n'est que mon avis of course, et je ne vois pas de difficulté si tu (ou quiconque) souhaites modifier les paragraphes que j'ai pondu (comme cela a déjà été le cas d'ailleurs... ;-) ). Je relis tout ce que vous avez fait et prendrai la main quand dans la semaine. Cependant je souhaite dés à présent réserver le paragraphe 391 mais je ne vois pas où on colorise les cases en gris... Coda tu peux me dire?
  15. il y a un petit souci: le paragraphe 168 apparait sur le côté comme 161! c'est étrange... une attaque de Kym'chull qui sent venir son trépas?
  16. Il y a en effet une référence à un lvdh dont le paragraphe 13 était synonyme d'impasse fatale... Mais dans mon idée, ce paragraphe certe fatal serait l'occasion d'une phrase bien senti du cornu traitant le héros de traître, mais se paragraphe sera surtout ce que voudra celui qui l'écrira... C'est le Mj qui l'a dit !
  17. Super dessins! Bravo... J'ai cru voir un souci dans l'organigramme: Le 61 amène au 251 et n'a pas de lien avec 264 ou 161.... je ne corrige pas car j'ai peut-être raté un truc... Dernière chose... les yeux du cornu passent du jaune au bleu entre 118 et 256! C'est louche...
  18. retouche faite: 118. La créature vous fixe de ses yeux bleus perçants. La température ambiante s’effondre alors, déclenchant en vous un déferlement instinctif de haine mais aussi de peur. Ce sentiment mêlé, vous savez l’avoir déjà connu, il y a bien longtemps dans votre enfance... mais ce qui est sûr c’est que, ici et maintenant, cette chose veut votre mort. Pire encore, on l’envoie pour vous tuer! Vous dégainez d’une main ferme votre lame et vous vous mettez en garde… à votre grand étonnement, votre adversaire se positionne en miroir face à vous, dévoilant sous sa cape un corps au muscles secs et puissants dont les bras bien trop long pour être ceux d’un homme tiennent deux dagues affûtées. Alors que vous vous jetez l’un sur l’autre au même moment une odeur méphitique manque de vous faire tourner la tête dans un réflexe fatal. Ce combat, vous le savez, sera aussi violent que difficile et vous remarquez à peine le picotement à votre poignet et la buée qui s’échappe de vos lèvres lorsque vos lames s’entrechoquent.
  19. Bon, je me suis lancé à l'assaut plus vite que prévu... J'ai donc pris une main sauvage que je rends ici dans la foulée. 118 écrit... mais à retoucher: Bien vu Coda, je n'y pensais plus, mais je vais rajouter un truc dans la description pouvant coller à des attaques de froid.... Pour les stats du combat, j'ai plutôt misé sur une vision statistique laissant un 50-50 tout en créant un adversaire faisant plus de dégât mais avec moins d' ENDURANCE pour compenser. Si je fais des essais, sûr que je vais perdre... les dés et moi...
  20. Ben dites donc, faut pas s'absenter sur ce sujet! Tempête d'idées que voilà... J'ai essayé de réfléchir au paragraphe 118 amenant au combat avec le cornu qui est aussi l'assassin de l'ancien comparse de notre "héros". J'avoue que si rapidement au départ de l'aventure, je m'y attendais pas... s'il y a combat, il doit être rude... un 50-50 sur les chances de blesser font-ils de cet adversaire un ennemi suffisamment redoutable? Je ne pense pas. Mais aller au 40-60 risque de transformer cet voie en impasse. Votre avis est le bienvenu! Je rappelle que l'on peut réserver les paragraphes avec une jolie couleur grise, ce que je fais de ce pas pas le paragraphe 118!
  21. C'est pas ma faute si ça tarde à répondre! Ouch!! Y a t'il la possibilité d'inclure un autre onglet au doc? Tu pourrais mettre tous les numéros restant sur ce nouvel onglet et avec du couper coller on les basculerait sur l'organigramme au fur et à mesure de la progression du projet... Le monde de Titan ayant pour déesse de la chance et du destin Sindla, soeur de Titan et dirigeante de la chambre de l'esprit... on pourrait en faire un "personnage" intervenant dans l'aventure... Sinon, Logaan le seigneur roublard aussi serait sympa à faire apparaitre au fil de l'histoire... il collerait même mieux à notre protagoniste par sa neutralité... il pourrait ainsi gagner de la chance en récupérant un objet important même en commentant un acte moralement douteux. Donc en cas de mauvaise action, le karma saut'ra? euh... que les règles des défis fantastiques sont très bien... imparfaites mais très bien, puisque l'aventure se déroule dans cet univers. Du coup, j'avoue que je préfère m'investir sur l'écriture que sur les règles... 1 seul post ça va MJ?
  22. j'ai retouché l'organigramme avec le 59 et les suites du 144.
  23. La main est libre. Par contre il va falloir retoucher le début du paragraphe 264 pour coller aux 168 et 59 qui y renvoient et que cela soit cohérents des deux côtés...
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