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  1. Après être resté une journée sur Pythance, à faire le plein de denrée pour faire un petit bénéfice lors de notre arrivée à Pytharque, nous avons navigué deux jours et sommes arrivé en début de soir. J'ai la joie de mettre pris une chèvre comme animal familier, j'ai prénommé celle-ci My Key. J'espère que la belle Sorcha ne sera pas jalouse de l'animal. Phytarque a l'air assez peuplé. Je suis assez content cette nuit, j'ai enfin très bien dormi, aucun dragon pour troubler mon sommeil. Cela faisait quand même quelques semaines que presque tous les soirs j'étais visité par les dragons. Nous sommes allés diner dans la première taverne trouvé, à moins de vingt mètres du quai où nous avons amarré le Go et lent. Le Sang Taurin, un petit boui-boui, mais la bière y est bonne et le turbo huilé délicieux. Nous y avons appris que l'oracle était visitable pour la modique somme de 5 sols. Puis les vapeurs d'alcool prenant effet, une bagarre a éclaté et je suis rentré me coucher sur le bateau (cela n'a rien à voir avec le fait que Sorcha n'ai pas accepté de garder sa main dans la mienne).
  2. Cela fait maintenant quelques jours que nous sommes en Mer. L'idée est de mener le Go et Lent le plus loin possible de khétype et des Lunards. Après avoir trouvé un bon Dos, comme je l'écrivais à la page précédente, nous voila sur une mer d'huile. Il ne se passe vraiment rien d'intéressant et nous n'avançons plus. Nous tentons de noyer notre ennui par la pêche. L'ami Ernest hameçonne une très grosse prise et malgré mon aide et celle de Landéric, nous ne parvenons pas à la hisser à bord, elle nous échappe donc. Le soir, nous célébrons comme il se doit d'avoir, nous semble-t-il, échappé aux poursuites. Malheureusement, nous ne somme pas assez sage et buvons trop. Résultat, nous échouons le Go et Lent et abimons celui-ci. Le lendemain se passe à Terre, nous essayons de déterminer où nous sommes, nous recherchons l'herbe dont Mosnas aurait besoin pour redenez la vue, à notre aveugle. Manque de bol, la description qu'il nous a donné (un dessin) est assez floue et nous prenons d'autres plantes. Résultat Ernest et Mosnas s'empoisonnent. Grâce à un enchantement réussi par Mélopée, nous parvenons à les stabiliser. J'échoue lamentablement à mes trois tentatives d'enchantement. Lors de notre battue à herbe, nous ne somme guère discrets et un paysan local entend distinctement les mots sorcière, lunards et magie prononcés par l'un d'entre nous. Cela nous pousse à vite reprendre la mer. Nous passons donc deux nouveaux jours en mers, avec un temps venteux et assez beau, j'ai une furieuse envie de pluie, mais celle-ci ne vient pas. Nous finissons par trouver une petite île sur laquelle, nous échouons le Go et Lent sur la plage afin de le réparer. Le lendemain matin, il pleut, et je me fais une joie de danse tout nu devant une Sorcha qui ne comprend pas trop comment je peux être sain d'esprit. Pendant que l'équipage répare le bateau, nous nous rendons dans le port non loin. Et entrons à la taverne du port. Le repas est bon, mais sans vraiment être parfait, je mettrais sans doute une note de 3 sur 5 à cet établissement, lorsque je rédigerai mon guide des auberges. Nous nous rendons compte que Sorcha est habillée d'une manière très "Lunard". Ernest se propose donc de lui confectionner un vétement afin qu'elle soit moins visible lorsqu'elle vient avec nous. Durant nos discussions avec les locaux, nous apprenons qu'un certain Leduc est allé à Pytharque, et en est revenu tout changé, d'une manière assez positive. Nous décidons d'aller lui parler. Leduc nous reçoit dans sa demeure, celle-ci est entourée d'un jardin assez bien entretenu, les plantes sont alignées et taillées correctement. Leduc est tout content de nous raconter le voyage qu'il a effectué à Pytharque, il y a fort longtemps. Il se souvient que cela lui avait pris du temps. Que l'île était en plein boum économique dû à l'arrivée de l'oiseau. Il se souvient avoir été pris en charge par une des pythies qui lui a confirmé son désir profond de demander sa femme en mariage et de mettre de l'ordre, beaucoup d'ordre dans le jardin. À sa grande surprise, tout a fonctionné comme il le voulait lorsqu'il est revenu. Il nous indique bien que le voyage et le séjour à Phytarque lui a coûté bien cher. Sur ce, nous revenons au bateau et fourbus, y passons une nuit réparatrice. Au matin, je décide de passer la journée avec Sorcha afin que nous nous rapprochions et c'est ce que je fais. En fin d'après midi, nous faisons voile vers Pythance. Nous sommes enfin assez loin de khétype pour nous sentir serein. Le lendemain soir, nous atteignons l'ile de Pythance qui n'est autre que le grenier à blé des Janiques. Cela se voit à la morphologie de l'île et à l'étendu du terrain agricole qui se déroule devant nos yeux. Nous décidons de faire halte afin de faire le plein de provisions. Les ivrognes de l'auberge connaissent bien Pytharque et nous apprennent que le bois y est une denrée rare, et que pas mal de bateaux partent de Pythance pour aller ravitailler Pytharque. Spasme est connu comme une ville légendaire, et personne n'a ouï-dire d'Oblivions. Je passe une excellente soirée alors que nous discutons de la marche à suivre, mes yeux se noient dans Sorcha qui porte le vêtement réalisé avec beaucoup de finesse, de détails et de beauté par Ernest.
  3. Ce matin est un jour spécial à Port Villard. En effet, c'est le jour où le Solar distille sa bonne parole. Nous nous y rendons et je demande à participer à l’audience publique. J’invente une sombre histoire familiale et réussie brillamment à embobiner le Lunard chargé de faire le tri des demandes. Arriver devant le Lunard, j’explique une sombre histoire familiale qui me pousse à trouver et Oblivions et spasmes. Il me décrit alors l’archipel des Janiques et confirme ce que nous savions déjà sans en apprendre davantage. Il nous met en garde contre les îles qui ne suivent plus les principes Lunards et qui sont récemment entrés en rébellion. Puis, nous rentrons au bateau et discutons longuement de nos options et de ce que nous allons faire, ce qui nous mène au début de soirée. Landéric pense que la jeune fille rencontrée à l’auberge n’est pas sa fille, elle n’a pas exprimé le souhait de changer de vie. L’option d’aller dans le sanctuaire Lunar d’y trouver une hypothétique bibliothèque est, elle aussi, abandonnée. Je décide d’aller faire mes adieux à Sorcha, les autres m’accompagnent. Mélopée me rédige gentiment un poème, que j’apprends non sans difficulté. Arrivé sur place, je n’arrive pas sous le coup de l’émotion à déclamer mon poème, mais j'invite Sorcha à nous suivre dans nos pérégrinations afin qu’elle puisse peut-être trouver une solution au problème de la peste dont elle semble intéressée à résoudre. J’indique aussi qu’elle pourrait tout à loisir observer landeric et comprendre ce qui a bien pu se passer il y a trois jours. Un Lunar drapé de bleu entre dans la pièce et nous intime de partir. Je me précipite pour prendre Sorcha dans mes bras et lui chuchote à l’oreille qu’elle peut venir nous rejoindre sur le bateau, il y a de la place pour elle dans notre voyage. Mélopée et moi rentrons au bateau, mais remarquer que nous sommes suivis. Arrivée au bateau, je compose une nouvelle recette, pas trop travaillé. Mais je n’ai pas le cœur à l’ouvrage, je rate donc complètement ma recette. Mosnas et Ernest sont restés dans une taverne proche du dispensaire, Ernest pour tenter de « convaincre » Sorcha de venir avec nous, Mosnas l’accompagne pour qu’il ne fasse pas de bêtises avec son côté psychopathe. Un adjectif dont Mosnas affuble, Mélopée, Ernest et moi. J’ai fini de cuisiner lorsque qu’une très jolie rousse monte à bord portant un petit baluchon, à sa voix, je reconnais Sorcha, mon cœur bondi et je lui propose de faire le tour du Go et lent. Après un petit moment, le navire bouge et nous entendons des cris en provenance du pont. Sorcha et moi sortons donc sur le pont et constatons que le navire largue les amarres. Le quai est bondé, j'y reconnais trois de nos marins, mais le reste de la foule est constitué de gardes, deux d'entre eux sont armés d’arc et commence à nous tirer dessus. L’une des flèches parvient malgré la distance dans le dos de notre capitaine, le vénérable Zaché Peuron. Landéric se déplace pour couvrir celui-ci avec le bouclier. On aurait l’air malin sans capitaine. Ceebatia qui était monté sur le mat afin de gérer de la voilure redescend aussi vite qu’elle le peut afin de prendre la barre et la direction du navire. Un autre trait vise notre capitaine, Ernest décide de viser la flèche avant qu’elle n’atteigne quelqu’un et le bougre réussi cet exploit ! trop fier de son fait, il décide de narguer les archers qui sont à quai et leur montre son fond. Il a beaucoup de chance, car un trait l’atteint, ne lui causant que des égratignures. Le Go et Lent sort donc du port. Landéric sous l’œil concentré de Sorcha, qui semble noter mentalement tous ces faits et gestes, soigne notre capitaine. Nous nous rendons compte que les Lunards nous ont pris en chasse, mais Ceebatia trouve un bon dos qui nous emmène loin de khétype. Sur ce fourbu, nous allons dormir.
  4. Après une bonne nuit de sommeil. Je me lève du bon pied. Avec l'ami Ernest, et accompagnée de Dame Mélinoë, nous prenons la direction au temple majeur des Lunar, pour les rdv que j'ai pris avec un PSY, hier. En route, nous croisons un petit groupe, en son centre se trouve une très jolie jeune fille. Ni une ni deux, je vais la faire danser. Ernest me voyant tout fringant décide de m'aider en chantant tandis que Dame Mélinoë se met à jouer de la musique. Avec cet entrain, je ne remarque ni la présence de la délicieuse Shorka, ni de cette petite roche qui dépasse légèrement au milieu de la chaussée. Ni une ni deux, je fais mon Millot et j'accroche mon pied sur cette aspérité, et en lieu et place de danser avec une belle inconnue, je me vautre de tout mon long sur le sol, l'entrainant avec moi. Elle s'énerve et reprend son chemin. Nous finissons quand même à arriver au temple Lunar, je me rends à mon rdv, pendant que les copains inspectent le site. Le PSY me réclame 20d, chose dont le scribe n'avait soufflé mot hier, c'est cher ! La consultation commence et s'oriente assez rapidement sur comment je rêve. J'ai l'impression que le Lunar tente de savoir si je pratique le haut rêve ou non. Il m'invite ensuite pour régler mes soucis à rejoindre les lunars en commencer l'enseignement qui dure une bonne année. Je lui indique que je vais réfléchir à sa proposition. Il me prescrit aussi un verre de véritable vin de khetype tous les jours pendant une semaine. Il est maintenant couronne et mes compagnons et moi déjeunons d'une tranche de pain, d'olives et de fromage tout en discutant de ce que nous allons faire. Durant ma séance, Ernest a appris que le Solar donnait des consultations publiques les 7, 14, 21 et 28 de tous les mois sur la place de son palais à Villard. Ça tombe bien, c'est demain. Nous rentrons donc en ville et sur le Go et Lent, j'essaye une fois de plus de lire `les Tourtes de l'amer`. Plus je le lis, plus ce que le cuisinier à laisser comme note est cryptique. Je pense aussi que mes embrouilles du matin devant Sorcha m'ont embrumé l'esprit. Pendant que je m'escrime à lire, Méloppée analyse le vin et nous découvrons que celui-ci est enchanté, d'une manière bien particulière. Cette découverte pousse Mosnas à installer un laboratoire alchimique sur le bateau afin de pouvoir analyser le vin. Le soir, nous faisons la tournée des tripots et dans l'un deux une superbe donzelle consent contre 40d à danser avec moi. Cette danse me procure un bien fou. Nous goutons la bière locale. Enfin, nous rentrons au bateau et dormons comme des loires.
  5. Je me réveille ce matin avec une idée assez fixe, pisser dans un instrument de musique à vent. Hop, je bois quelques litres d’eau afin d’éviter la panne. Puis je décide de prendre un petit déjeuner, et commence donc à faire cuire des œufs. Une femme ressemblant fortement à dame Mélinoë m’empêche de le faire en jetant de l’eau sur mes flammes. Ne comprenant pas ce geste, je rallume le feu dans le but de finir la cuisson de mes œufs. Cette dame recommence en m’expliquant, cette fois, que sur un navire tout en bois tel que le Go est Lent, c’est excessivement dangereux. Je décide de descendre sur le quai afin pour finir de préparer mon petit déjeuner. Accompagné d’Ernest, nous partons à la recherche de Sorcha. Au “temple”, après avoir insisté, nous apprenons que la belle Sorcha, c’est rendu au temple du Solar à une heure de marche de Villard. Ernest et moi n’ayant rien de mieux à faire aujourd’hui, décidons de nous y rendre. Après une bonne heure de marche, dans des collines vallonnées à un ensemble de bâtiments. Certains sont en ruines, d’autres en bon état. Il y a beaucoup de lunards de couleurs différentes et j’interpelle le premier qui passe à ma portée. Lui expliquant que c’est l’amour qui m’a conduit ici. Celui-ci me conseille de prendre rdv avec un Psy. Et m’explique la démarche à suivre. Je me retrouve devant un scribe au crâne chauve. Celui-ci écoute mes doléances, n’a aucune idée de l’endroit au Sorcha pourrait se trouver. Il me prend rdv pour le lendemain avec un Psy. Nous rentrons donc à Villard et pour tuer le temps, nous décidons d’aller chasser. Après quelques péripéties, nous tombons sur un groupe de corps marrant. J’arrive à en tuer un avec ma Fronde, et Ernest deux avec son arc. Nous rentrons en villes avec le produit de notre chasse et je les prépare, mais ma tête étant toute à Sorcha, je les fais trop cuire. Sur ces antres faits, Dame Mélinoë, me propose une mandoline, je m’empresse d’y vider ma vessie. C’est fou ce que cette sensation est agréable. Enfin, nous allons nous coucher.
  6. Je peux enfin me lever et m’habiller sans que l’idée de mettre des habits ne me donne la nausée. Je m’habille donc et décide d’accompagner Mélopée, Mosnas, Landéric et Ernest à la taverne. En effet, hier, Landéric a cru reconnaitre sa fille à la taverne et cela nous a intrigué. En descendant du bateau, nous croisons un groupe habillé de longues robes noires, le chef et le visage couvert d’un masque avec un long nez en forme de bec. L’une de ces formes, est très visiblement une femme, pour une raison que j’ignore, mon cœur se met à battre la chamade à sa vue, j’ai des bouffés de chaleurs, je me précipite pour lui déclarer ma flamme. Malheureusement, elle semble pressée, mais j’apprends son nom de la bouche de l’un de ces compagnons, elle se prénomme Sorcha. Je suis tenté de la suivre, mais Ernest et Landéric m’en empêche. Nous nous dirigeons donc vers la taverne. Alors que nous sommes attablés, la table se nimbe d’une aura jaune et une nuée d’insecte commence à envahir le lieu. Nous essayons de nous éclipser le plus discrètement possible et le plus rapidement possible. Nous retournons au Go est lent. Je décide de confectionner un gâteau pour Sorcha afin de lui montrer la force des sentiments qui anime mon âme. J’achète en conséquence du blémoud, des œufs, des fruits secs et miel, l’ami Landéric se propose d’acheter les mêmes éléments, choisis avec soins pour pouvoir réaliser un deuxième gâteau, au cas où – c’est comme si mes compagnons émettaient des doutes sur les qualités culinaires de mes créations. Je me lance dans la création du Gateau de millot; je réussis, mais ayant des ingrédients en plus, j’en cuisine un deuxième que je réussis encore mieux. Puis avec l’aide de mes compagnons, je pars à la recherche de Sorcha afin de lui offrir ma création. Elle n’est pas au “temple”, mais après avoir insisté un petit peu, on m’indique que mon amour est à la léproserie se trouvant dans le vallon non loin de Villard. Je décide de m’y rendre et d’y porter les deux gâteaux, car il est de bon ton de nourrir les lépreux. Mosnas nous explique de bien faire attention et de ne pas entrer en contact avec eux. C’est le meilleur moyen de se prémunir de la maladie, qui est incurable, nous explique-t-il. Je propose à Sorcha mais celle-ci les dédaigne en m’expliquant que je ferrais mieux de les donner au lépreux qui ont l’air d’être affamé. J’avais déjà donné l’un de mes gâteaux, je donne donc le deuxième. Puis, elle nous invite à partir. Au moment de sortir, Landéric, sans savoir ni pourquoi ni comment, pratique une imposition des mains sur l’un des lépreux, celui-ci se sent soulagé de ses douleurs. Cela intéresse fortement Sorcha. Elle a fini son activité qui semble être de faire des soins et se laisse raccompagner en ville par notre petit groupe. Nous discutons enfin, surtout moi. Elle paraît plus intéressée par Landéric et son “pouvoir”. Arrivé en ville, un groupe de gardes accompagnés d’un lunar rejoint Sorcha, mes compagnons excepté Ernest s’éclipsent discrètement. Le groupe parait être à la recherche d’une sorcière qui aurait détruit la taverne ce matin. La description donnée me fait penser Mélopée. Nous nous séparons de Sorcha qui nous invite à diner fin faucon, au temple, elle insiste sur la présence de Landéric. Landéric étant épuisé suite à sa prestation à la léproserie, il décide de rester à bord. Mélopée quant à elle est introuvable. Fin Dragon, nous nous dirigeons Ernest, Mosnas et moi en direction du temple où la belle Sorcha nous attends. Elle semble bien déçue de l’absence de Landéric, cela me fend le cœur, mais la nourriture est excellente ainsi que le vin – dont le nom m’échappe, j’ai dû trop en boire. Sorcha voudrait voir Landéric avant que la nuit ne se passe. Mais nous lui expliquons que celui-ci est épuisé et qu’il est parti dormir. Nous rentrons donc au bateau. Une vingtaine de minutes plus tard mon cœur bondi, en effet Sorcha est sur le pont. Elle désire ardemment examiner Landéric. Au loin, nous distinguons de l’agitation, un groupe de garde, accompagné d’un lunard bleu, parais se diriger vers le Go est lent. Mosnas insiste pour que Sorcha descende et commence à vouloir l’empoigner afin de lui faire quitter le bord. Je m’interpose, ce brouhaha réveille Landéric qui arrive sur le pont. Cette arrivée émerveille Sorcha, je commence à comprendre pourquoi, mais n’en reste pas néanmoins jaloux. Mosnas veut plus que jamais protéger Landéric et essaye encore une fois de la faire descendre de force. Ce n’est plus possible, Ernest a fait remonter la passerelle. La garde se dirigeait bien vers notre navire et nous sommes de descendre la passerelle. En guise de bonne volonté, nous nous exécutons, la garde monte à bord. Le capitaine et le lunard habillé de bleu se renseigne sur le Captaine. Mosnas fait valoir son droit d’armateur et la garde explique donc qu’ils vont fouiller le bateau afin de trouver la sorcière qui plus tôt magiquement détruit l’auberge de la ville à l’aide de termites magiques. Nous descendons sur le quai et attendons que la fouille ne donne rien. Puis, nous remontons à bord dans le but de dormir.
  7. Attention. Pendant que Melopée et moi faisons chou blanc, à trouver un lieu pour passer la nuit. Mornas, Ceebacia, Ernest et Landéric s'épuisent rapidement à essayer de pêcher nos affaires. Ils rentrent au rivage et avalent goulument les coquillages que j'ai préparés. Puis nous nous éloignons sur la lande. Nous trouvons une dépression, qui nous abrite sommairement du vent. Le petit feu que nous faisons ne nous chauffe guère. Au matin Mornas, Landéric, Ernest et Ceebacia, sont fiévreux. Mornas diagnostique une crêve, tandis que Melopée et moi-même pensons qu'il ne s'agit que d'une grelotte. Nous allons enchanter trois potions afin de soigner trois des malades. C'est le début de journée et nous sommes déjà épuisé rêvement parlant. Il pleut toujours et nous décidons après un bref débat de suivre le chemin qui longe la côte en direction du sud. Le chemin monte doucement vers des falaises et nous laisse apercevoir un village non loin. Nous nous dirigeons vers celui-ci. Pour atteindre l'auberge du port de Grisport, nom de la bourgade. Nous traversons un pont qui surplombe une rivière dont j'ai oublié le nom - je l'avais pourtant bien écris sur mon parchemin, mais celui-i ayant pris l'eau a pourri, j'ai donc perdu des noms que j'avais notés. Le pont forme un angle et au niveau de celui-ci se trouve une statue d'une femme. Celle-ci est décapitée, en regardant par-dessus le parapet, Ernest aperçois dans la vase la tête de la statue. Nous continuons sur l'autre berge et atteignons l'auberge. On prend la table qui se situe près de l'âtre afin de sécher nos affaires de nous sécher de requinquer nos malades. Nous commandons la spécialité de l'auberge - une soupe des poissons du jour dont le nom m'échappe, car le nom était sur ce foutu parchemin. Nous discutons avec l'aubergiste qui nous explique que la dame a toujours été décapitée. Que la rivière remonte vers une ville située près d'une forêt. Cette forêt est exploitée et le bois est exporté au travers de Grisport. Au nord de ce village se trouve un château dont j'ai aussi perdu le nom. Quand nous louons les deux chambres disponibles et nous nous y retirons. La table que nous occupions est couverte d'eau et de reste de boue. Je suis bien content de ne pas avoir à nettoyer ce merdier. Nous louons ensuite un bateau, afin d'aller à la pêche à nos affaires le lendemain. Je fais parti de ceux qui retourne à la plage à pied. La partie de pêche s'engage et nous récupérons, je crois, tous les sacs sauf celui de Mélopée.
  8. Avertissement sur la divulgation de contenu de scénario. Reprenons le combat contre les créatures semi-aquatiques, mi-femme, mi-monstre là où nous l'avions laissé. C'est-à-dire, que je m'acharne à l'aide d'une dague contre l'une d'elle. Il me semble que je sois plus en forme lorsqu'il s'agit d'esquiver les coups que lorsqu'il s'agit de les porter. Mélopée, Ernest et Landeric, se débarrassent de leurs adversaires et viennent me porter secours. Il faudra que je songe sérieusement à améliorer mon maniement de la dague. Nous tentons de sauver notre guide, mais la donzelle a déjà changé de rêve. Nous pensons cependant avoir atteint notre but dans ces marais. Le gros rocher qui se dresse devant nous est tout luisant, d'où son nom "Nain-luisant". Il s'agit sans doute d'un passage vers un autre rêve, car le rocher est enveloppé d'une brume violette. Nous nous soignons et nous nous reposons avant d'aller dans cette brume violette. D'un coup, d'un seul je me retrouve dans de l'eau salée, l'eau est agitée et le poids de mon sac m'entraine vers le fond. Je me débarrasse d'icelui, mais je peine quand même énormément à rejoindre la surface et l'air qui commence à manquer à mes poumons. Ceebacia me porte secours et me ramène à la surface ou je peux enfin respirer. Mes poumons sont en feux, mon souffle est court. J'essaye de m'orienter, il semble que nous ne soyons heureusement pas loin d'une côte. Je commence à tirer sur mes bras et pousser sur mes pieds en directions de la terre ferme. Je pensais savoir nager, mais avec mes habits et mes affaires, c'est dur, et surtout très fatiguant. Il semble que je sois le moins doué du groupe pour ce genre d'exercice - bien sur l'un de mes compagnons, a triché, il semble qu'il flotte sur l'eau. C'est Mornas qui a eu le réflexe de sortir sa "boué magique" dès qu'il s'est retrouvé dans l'eau. À l'occasion, il faudra que je le questionne au sujet de cette boué c'est quand même bien pratique. Enfin nous parvenons sur le rivage. Je suis exténué, il pleut, c'est vraiment pas la joie. Alors que le reste du groupe, essaye de bricoler un crochet avec ce que nous avons et les bouts de cordes que nous avons, je me concentre sur la mise en place d'un feu. Je pars ensuite à la chasse aux coquillages. L'idée est de préparer quelque chose de bon et chaud après ce bain forcé. Mornas par à la pêche avec ce que lui a bricolé Ernest, une sorte de croix faite de deux dagues qui devrait permettre de sortir du fond de l'eau le sac de mélopée qui contient lui de la corde et un grappin. Afin d'aider Mornans Mélopée et Landeric, se sont aventuré sur les rochers qui entrent dans la mer et devrait raccourcir le temps de nage pour rejoindre la zone ou nos affaires ont coulé. Malheureusement les rochers sont très glissants et Mélopée, se casse la figure et s'ouvre l'épaule. Heureusement Landéric la suivait de près et la ramène au rivage. J'oublie qui nettoie la plaie, car je me lance dans la production de ma première potion magique à base d'ortigal noir. Je suis assez content de moi, car je sauve l'épaule de Mélopée. Pendant ce temps-là Ceebacia, Ernest et Mornas commencent doucement à ramener notre matériel. Quand Mélopée se réveille nous commençons à chercher un lieu plus sur pour monter un campement et y passer la nuit.
  9. Avertissement sur la divulgation de contenu de scénario. Après s'être calmé, le seigneur nous raconte son histoire. Il avait organisé avec ces trois frères un tournoi, dont le vainqueur aurait l'amour de la belle Lorinel, enfant du village dont les frères étaient tous amoureux. Le tournoi terminé, les quatre frères constatèrent la disparition de la belle. Ils se mirent donc tous à sa recherche, celui la trouvant devenant celui digne de partager sa vie avec. Les frères du seigneur ne sont toujours pas rentré. Cela se passait il y a 7 ans. Il a d'ailleurs promis une récompense à qui ramènerai la belle : une coupe en or, ornée de joyaux. Comme nous n'avons pas bien compris la ballade, je supplie le seigneur d'écouter une ballade donnée par un oiseau oracle. En effet, la chanson finit par le retour de l'aimée. Il donne son accord mai est incapable de déchiffrer les expressions que nous ne comprenons pas : "libelle", "nain luisant". Je décide de partir en cuisine, afin de voir si je ne peux pas apprendre une recette ou deux de plus pour peupler le livre de recette don j'ai le projet ; D'ailleurs il me faudrait trouver un titre. En discutant avec le cuisinier au sujet de l'obione, il m'apprend le sens du mot libelle. C'est une sorte de libellule géante vivant dans les marais. Il faut s'en méfier, car leurs ailes peuvent couper des bambous gros comme une cuisse. Nous passons une nuit ordinaire au château. Le lendemain matin, Mosnas et Landeric enquêtent au village pendant que Melopée et Ernest restent au château pour des activités diverses. Au village, nous apprenons que le 'Nain luisant' est un rocher dans les marais. Rocher qui à mauvaise réputation, les villageois n'y vont pas. Baji pourrais nous guider vers le nain luisant. Mais il refuse de nous conduire, car il a le sentiment qu'on s'est moqué de lui. Nous trouvons néanmoins un guide sous la forme d'une jeune fille qui veut bien nous montrer le chemin. On avance dans le marais. De ci de las nous trouons de l'ortigal, le l'obione et même de l'ortigal glauque. Nous nous promettons de partir en cueillir dans un temps futur. On entend un vrombissement lointain. Nous sommes attaqués par deux libellules géantes - dont nous arrivons à nous débarrasser assez facilement. Je teste mes armes, la fondre ne sert à rien, le lancé de dague non plus. Je n'ai pas pu tester encore la dague dans une mêlée. Mais ça m'existe bien mon tout premier combat. Je crois que j'aime ça. À peine le combat terminé, nous reprenons notre progression vers le Nain-luisant. Au loin nous apercevons une superbe jeune fille nue en train de se laver de l'autre côté d'un cours d'eau. Elle chante d'une voie magnifique et nous sommes tous subjugué par ce chant à l'exception d'Ernest. Nous nous précipitons pour la rejoindre au plus vite. Contrairement à mes camarades, je ne me déleste pas de mon matériel et entre dans le cours d'eau afin de le traverser. Une autre jeune fille sort alors de l'eau et tente de m'embrasser. L'illusion disparait et je fais face avec ma dague à une sirène. Un combat entre 4 sirènes et mes amis commence ...
  10. Mise en garde de divulgation. En attendant la fête prévue en notre honneur, mes compagnons profitent du luxe du château. Pour ma part, je parcours la ville afin de trouver un recueil de recettes. J'en déniche un après de longues tractations avec son propriétaire : `Beignes et fritures` pour deux sols. Je commence à le lire. Le jour de la fête de la restauration de la justice arrive enfin. Nous sommes décorés de l'Ordre de la Croix Papone, une jolie breloque argenté, représentant les armes de la paponie. Je suis content de la recevoir, et je la range bien au fond de mon sac à dos. De plus le rois nous donne 50 sols, une jolie somme. Une fois la cérémonie terminée, le buffet commence et il s'étale sur l'ensemble des jardins royaux. Nous déambulons dans lesdits jardins goutant des mets raffinés, des vins succulents, quand au détour d'une allée buissonnière nous nous retrouvons devant une sorte de grosse perdrix à quatre pattes. Nous reconnaissons tous un oiseau-oracle. Après une brève discussion Mélopée s'exprime ainsi : "Où peut-on trouver les indices menant au trésor de Black Squirrel". L'oiseau répond aussitôt : "Ne cherchez pas l'amer, si vous voulez du sel. Preferez-y l'Obione Amarandaise.Horgane vous donnera la main Le marin perroquet vous donnera la clé". Puis l'oiseau s'envole et disparait. Il nous faut comprendre ce que l'oiseau a essayé de nous dire. Je reconnais directement l'Obione comme une salade, ne poussant que dans des marais salants, elle se mange presque exclusivement en salade, bien que je ne l'ai jamais gouté, j'ai maintenant une forte envie de découvrir cette feuille. Je pourrais la gouter et sans doute créer de nouvelles recettes autour de cette plante. Mosnas identifie Horgane comme une ville de médecin aussi appelé saine. Amarande n'évoque rien pour personne. Enfin il nous semble que les amers, sont des points particuliers sur les côtes pour indiquer aux navires les lieux de navigations sûrs. Nous finissons par trouver un buffet et en discutant avec certains des autres invités, nous apprenons qu'Aramande est un bourg qui se trouve dans l'est de la paponie non loin de l'embouchure de l'Arge. Le propriétaire du château au bourg d'Amarande se nommerais Sir SirGalant. Nous finissons la soirée bien éméchés. Le lendemain matin pendant que mes compagnons cuve, je profite d'une jolie fleur aux reflets violets que j'ai coupée dans les jardins royaux, pour me vêtir de lin et méditer sur la nature de ce monde. Bien m'en prend puisque je comprend mieux celui-ci et donc la nature des dragons. Lorsque mes compagnons daignent enfin paraitre nous partons nous équiper, d'une mule, d'épices pour que je puisse cuisiner quand nous en aurons le besoin. Nous remontons le cours de l'Arge, vers le nord. Plus nous avançons, plus le fleuve s'élargie. A la tombée du jour, à mi-épées, nous arrivons dans le petit hameau de Ballus sur Arge. Les gens viennent d'entendre parler des évènements de la capitale, ils ne comprennent pas vraiment pourquoi il ne faut plus faire la fête aux hauts-révants. Ils n'ont bien entendu pas eu le temps de créer une maison des voyageurs, mais semble curieux, car un voyageur est passé le matin même. Celui-ci nommé Dream cherchais l'inspiration est partie sur le chemin en direction d'Amarande, car suivre le fleuve n'est plus possible et le marais est vraiment compliqué traverser. Non Il' n'y à pas d'Obione ici, mais on en trouve à Amarande. Nous racontons le retour des yeux de la justice, devant un pare-terre de villageois incrédules. Au matin nous partons dès sirène direction Amarande. En chemin nous rattrapons le voyageur nommé Drim. C'est un ménestrel fort beau, parcourant la paponie avec son instrument de musique. Il vient de rencontrer un oiseau-oracle à qui il a demandé de chanter une "chanson vrai". L'animal, c'est exécuté et Drim est tout enchanté de la musique. Il a plus de mal à mettre les paroles dans l'ordre. Mais il est emballé par la musique. La ballade est confuse pour lui elle parle d'une belle, de miel, d'un seigneur, d'un duel. Drim se joint à notre groupe, et décide de chanter "la ballade des voyageurs", je réalise que j'en connais deux ou trois couplets, mais Drim lui semble la connaitre en entier, nous sommes tous interloqués de découvrir la longueur de cette chanson. Il chante 30 minutes durant. Dès fois j'ai l'impression qu'il répète certains couplets, mais je n'en suis pas vraiment sur non plus. Aux epées, nous arrivons d'une quinzaine de maison, encastré entre à droite des marais et à gauche des collines couvertes d'arbres. Sur la première 'entre elle se tient un château. Nous sommes arrivés à destination a Aramande. La population curieuse de voir un groupe de voyageurs s'assemble autour de nous. Je me lance dans des explications exaltées au sujet de la nouvelle mode à propos de l'Obione à Argelantih. J'en profite pour entendre que Lucette en a justement amené un grand panier au château. À un moment un jeune homme d'une quinzaine d'année fend la foule et nous annonce que nous sommes invités par Sirgaland, pour le diner et le coucher. Nous nous rendons donc au dans la demeure du seigneur local. Celui-ci nous accueil, et nous offre deux chambres en vertus des nouveaux décrets, qu'il a reçu le matin même en provenance de la capitale. Sirgaland n'est pas très souriant, jeune, blond et très fort. On s'installe pour manger. Le repas est bon. Elle cuisine un truc que je ne fais pas. Salé, croquant tel est l'obione ce n'est pas mauvais. Melopé interprète avec brio "la délivrance de gantyr". Le seigneur se tourne vers Drim, et celui-ci se lance dans le chant, celui qu'il a entendu de l'oiseau oracle : "La ballade de Lorinel". Sir Galand s'énerve, "c'est tout ce que tu as à dire marouf, " "un mélange de calomnies et de mensonges, tu n'espères pas toucher la récompense avec un tell tissue d'ineptie ?"
  11. Et donc après cette traversée, d’une dizaine de jours, nous arrivons dans le port de Portagène. Mes compagnons de voyages Mosnas le premier m’indique que leurs pérégrinations ont commencé ici. Dame Mélinoé et sa suite sont originaires du pays – la Paponie. Elle décide de nous loger dans la confortable « Auberge de la voile de rêve ». On y dort bien, mais la nourriture n’y est pas fameuse et dépend fortement de la marée. Pendant que mes compagnons se reposent, je cherche un moyen d’apprendre à cuisiner tout ce qui vient de la mer. Le cuisinier de l’aubergiste fini par me céder, plus ou moins sous le manteau – car il a peur d’être pris pour un haut-rêvant – ces notes de cuisine qu’il a sobrement intitulé :« Manière d’accommoder la pêche du jour ». Le soir dans l’ombre de ma chambre, accompagné de Mélope, je profite des “yeux de la justice” – deux superbes bijoux, l’un en or l’autre en argent, pour me rapprocher des dragons et visiter les terres médianes du rêve. Un voyage fort instructif, mais assez fatiguant. Repoussant les avances de Mélope, que je ne trouve pas vilaine malgré les lacérations profondes sur son visage, car je suis vraiment fatigué. Je m’endors, et me réveille assez vite à cause d’un cauchemar. J’arrive à me rendormir et à passer une bonne nuit. Au matin, je me réveille avec deux envies très fortes, la première est de manger du poisson, la deuxième est bien plus incongrue, j’ai envie d’entendre un âne braire. Je me précipite donc à la cuisine pour commander un plat à base de poisson – le cuisinier est dépité il n’a pas de produit frais les pécheurs n’étant pas encore rentrés. Il me prépare une délicieuse tourte au loup, qui calmera ma faim. Mes compagnons n’ont pas l’air d’apprécier ce plat à sa juste valeur. Nous prenons ensuite la route à cheval et en carriole vers la ville de Argelantih. Notre cliente ayant arrangé les relais de chevaux sur toute la longueur du trajet, et nous ne mettons que deux jours pour y parvenir. Encore une fois les choses sont luxueuses, nous descendons à l’auberge de « la Croix Papone », un établissement auquel je mets la note de **** sur un total possible de 5. L’aubergiste nous sert une viande en sauce, qui fond entre le palais et la langue, avec un petit gout à la fois acide et sucré. Bref une tuerie. Depuis notre arrivée en Paponie, mes compagnons, et même le taciturne Landeric, sont inquiets. C’est comme s’ils avaient eu maille à partir avec la justice locale. Ils débâtent longuement de la conduite à tenir pour remettre au potentat local, les fameux « yeux de la justice », sans finir en prison. Finalement nous suivrons l’avis de notre client, allez à une audience de justice publique, y montrer les yeux. Cela fonctionne assez bien, nous finissons même invité par le roi à rester au château. Le Haut-rêve redevient légal, et on m’a trouvé un volume assez sympa sur la cuisine. Dans deux jours il y aura une fête en notre honneur, car nous avons ramené les yeux (comparé a mes compagnons, je n’ai pas fait grand-chose mais c’est bien plaisant). On nous parle même d’être récompensé d’une croix papone, j’ai hâte.
  12. De mes parties récentes en tant que gardien des et de discussion sur les forums de scriptarium. Il m'a pris l'envie de jouer (j'ai beaucoup plus été MJ à RDD que joueur). J'ai eu l'envie de jouer un Haut-rêvant avec comme but ultime la création d'un objet magique. J'ai donc demandé ici, et sur Facebook qui pouvait m'accueillir sur une partie en physique ou bien en virtuel. Vincent, s'est gentiment proposé. À ma requête de narcossien, il a émis le souhait que mon personnage ne soit pas qu'un haut-rêvant. Soit Mon voyageur aura comme passion la cuisine et l'élaboration d'un guide des auberges, restaurant des basses terre du rêve. Le nom de mon personnage est donc directement inspiré de la vie réelle. J'ai utilisé l'excellent outil mis en ligne par scriptarium pour créer le personnage, une feuille de calcul pour l'équipement. Je les ajoute en pièces jointes pour que vous puissiez vous faire une idée. Vendredi dernier on m'a présenté VTT, l'outil que nous allions utiliser pour jouer. Je suis emballé, ça gère tout ce que je me refuse de jouer, car j'ai peur que cela sois trop fastidieux. Vivement que je joue (c'est prévu pour dans deux semaines). PS Je cherche quelqu'un pour faire le portrait de Millot. Equipement RDD.pdf Millot.pdf
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